Occurences de l'expression

bien

pour CARMONTELLE, Louis de

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LE SUISSE MALADE (1771)

Hé bien, Monsieur Baron, comment aujourd'hui porte-vous, porte-vous bien ? (Acte 1, scène 1, LE MAJOR)
Fumé in bibe de tabac, cela il fera sort bien, che vous assure, moi. (Acte 1, scène 1, LE MAJOR)
Hé bien, envoye vous. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Hé bien, fais endrer ici, chez Monsieur la Baron. Marche donc. (Acte 1, scène 2, LE MAJOR)
C'est bien autrement ; c'est Monsieur, la Capitaine. (Acte 1, scène 3, LE MAJOR)
Je comprends fort bien cela vient d'un grand feu dans les entrailles, et crachez-vous ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR ROSELIN)
II faut, Monsieur, faire boire beaucoup le malade et lui donner une garde ; je reviendrai bientôt. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR ROSELIN)
Je comprends pas bien ce petit huitre que la Docteur il dit que vous avez, Monsieur la Baron. (Acte 1, scène 5, LE MAJOR)
Ho, cela il pourrait être fort bien comme cela ; mais il dit que c'est in bonheur ; c'est in tiaple de bonheur ; j'aimerais mieux avoir in pon santé. (Acte 1, scène 5, LE MAJOR)
Oh, pour moi, je crois bien. (Acte 1, scène 5, LE MAJOR)
Portez-vous bien Monsieur la Baron. (Acte 1, scène 6, LE MAJOR)
Pour moi je veux bien. (Acte 1, scène 7, LE CAPORAL)
Je veux bien, Caporal. (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Je vous aime bien. v.13 (Acte 1, scène 7, LE CAPORAL)
Je vous aime bien. v.15 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Hé bien, je m'en va trouver le Major. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR ROSELIN)
Hé bien, au premier. (Acte 1, scène 9, LE CAPORAL)
Hé bien, Baron, comment va présentement ? (Acte 1, scène 10, LE MAJOR)
Ah, bien Dame, il fallait donc vous expliquer mieux. (Acte 1, scène 10, LE MAJOR)

Ã€ BON CHAT BON RAT (1771)

Bonjour, Gilles, te voilà bien occupé ! (Acte 1, scène 2, LA PLUME)
Es-tu bien sûr de ça, Gilles, que ça soit aujourd'hui ? (Acte 1, scène 2, LA PLUME)
Eh bien ! (Acte 1, scène 2, LA PLUME)
Rira bien qui rira le dernier. (Acte 1, scène 2, LA PLUME)
Écoute-moi, Gilles, et promets-moi le secret : je te dirai tout ; aussi bien j'aurais besoin de toi pour glisser queuque mot à mam'selle Suzette. (Acte 1, scène 2, LA PLUME)
Ne t'inquiète pas, Gilles, quand la lettre de Suzette va venir, tu verras de la besogne bien faite, va. (Acte 1, scène 2, LA PLUME)
Madame Savon, je vous présente bien mes petits respects. (Acte 1, scène 3, LA PLUME)
Madame Savon veut-elle bien recevoir ces deux fines oranges et permettre qu'on l'embrasse ? (Acte 1, scène 3, LA PLUME)
En voici deux autres pour m'amselle Suzette : veut-elle bien permettre aussi... (Acte 1, scène 3, LA PLUME)
Madame, c'est bien de l'honneur pour moi. (Acte 1, scène 3, LA PLUME)
Mon pauvre Gilles, cours donc bien vite... (Acte 1, scène 4, MADAME LAIGUILLE)
Madame, c'est bien de l'honneur pour moi. (Acte 1, scène 4, LA PLUME)
Oui, ma foi, c'est bien trouvé. (Acte 1, scène 4, THÉRIAQUE)
Va-t'en , mon ami : tu vois bien qu'on n'en veut pas. (Acte 1, scène 9, THÉRIAQUE)
Si Mme Savon voulait, il y aura bien une manière d'arranger tout cela : il ne faudra renvoyer ni le repas ni les violons. (Acte 1, scène 12, LA PLUME)
Eh bien ! monsieur de La Plume, v'là c'est conclu : je vous prends pour mon gendre. (Acte 1, scène 12, MADAME SAVON)
Combien vous faut-il pour le repas, madame Rognon ? (Acte 1, scène 13, LA PLUME)
Faites-nous tenir les plats bien chauds. (Acte 1, scène 13, LA PLUME)
Vous avez raison, ma chère Suzette, j'aurai toujours le temps de lui couper le nez et les oreilles ; mais, comme dit le proverbe, charité bien ordonnée commence par soi-même. (Acte 1, scène 17, FOULONET)
Eh bien ! (Acte 1, scène 18, FOULONET)
Oui, ma foi, c'est bien trouvé ! (Acte 1, scène 19, THÉRIAQUE)

ALMÉNORADE (1771)

Lorsque je veux parler, veux-tu bien m'écouter : v.16 (Acte 1, scène 1, LE SULTAN)
Hé, Monsieur, je le sais bien, mêlez-vous de souffler et laissez-moi faire. (Acte 1, scène 1, LE SULTAN)
Il est pour moi bien doux ; puisque dans le butin, v.31 (Acte 1, scène 2, LE SULTAN)
Je goûterai bien mieux le prix de la victoire ; v.34 (Acte 1, scène 2, LE SULTAN)
Hé bien, cet art en moi va briller aujourd'hui, v.63 (Acte 1, scène 3, ALMÉNORADE)
Qui coupe tête et bras, goûte un plaisir bien doux ! v.68 (Acte 1, scène 4, ORCANOR)
Hé bien, venez, fuyons, il en est temps encore ; v.93 (Acte 1, scène 4, ORCANOR)
Mais, Monsieur, il faut bien que je tue quelqu'un. (Acte 1, scène 5, LE SULTAN)
Hé bien, pour mieux t'apprendre à lire l'errata, v.128 (Acte 1, scène 5, LE SULTAN)

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LA PERMISSION DE CHASSE (1771)

Hé bien, Saint-Éloy, mon cheval, comment va-t-il ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUGRÉPONT)
Pas mal, il commence à se bien mettre, je crois que vous en serez content ; il aura une allure agréable. (Acte 1, scène 1, SAINT-ÉLOY)
Oui, vous le connaissez bien. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUGRÉPONT)
Hé bien, où vas-tu ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DEVILLERVAL)
Hé bien ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DÉBONNIÈRE)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEVILLERVAL)
Il le sait bien. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DUGRÉPONT)
Fort bien. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DÉBONNIÈRE)
Je lui dis qu'il est bienheureux de ce que la sienne n'est qu'à trois lieues de Paris ; que, si la mienne était aussi près, j'irais tout_à_l_heure pour y tirer quelques perdreaux. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DUGRÉPONT)
Bien loin de cela, il m'en a refusé la permission. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DUGRÉPONT)
Oh, je le reconnais bien, moi, il est jaloux de sa chasse, il n'en fait pas toujours semblant. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DUGRÉPONT)
Moi, cela m'est bien indifférent ; et si je n'attendais pas mon cheval, je ne resterais pas ici, je vous assure. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DUGRÉPONT)
Hé bien, qu'est-ce qu'il dit ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DEVILLERVAL)
Hé bien ! (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DÉBONNIÈRE)
J'ai tort, c'est bientôt dit ; pouvais-je te deviner ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEVILLERVAL)

LE CHAPON AU GROS SEL. (1822)

Ma foi, non. J'ai pourtant vu bien des gens de ma connaissance qui y allaient, et qui ont voulu m'y mener; mais ils avaient tous dîné, ce n'était pas là mon compte. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DESPRÉS)
Je le crois bien ; vous êtes toujours par voie et par chemin : c'est ce qui fait qu'on vous voit si rarement. (Acte 1, scène 1, MADAME MINOT)
Monsieur, je suis bien votre servante. (Acte 1, scène 2, MADAME MINOT)
Eh bien, nous dînerons ensemble. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUPONT)
C'est bien dit. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUPONT)
Je suis bien ici. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DESPRÉS)
Sais-tu bien qu'elle n'est pas encore trop déchirée. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUPONT)
Pardi, je le crois bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DESPRÉS)
Combien y a-t-il qu'elle est mariée ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DESPR?S)
Je disais bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUPONT)
Je crois que non : il y a eu un homme bien amoureux d'elle ; mais elle est sage. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DESPRÉS)
Eh bien, Claude ? (Acte 1, scène 3, MADAME MINOT)
Vous me faites bien de l'honneur ; mais je ne le peux pas. (Acte 1, scène 3, MADAME MINOT)
Non, monsieur, je ne suis point lasse encore d'être veuve ; quand on est bien, il faut s'y tenir. (Acte 1, scène 3, MADAME MINOT)
Mais vous étiez bien aussi quand vous étiez mariée ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUPONT)
Je le sais bien ; il est fort bon. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DESPRÉS)
Messieurs, je vous suis bien obligée. (Acte 1, scène 3, MADAME MINOT)
Je vous suis bien obligé. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR GUARINI)
C'est bien dit. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DESPRÉS)
Je suis bien votre servante. (Acte 1, scène 4, MADAME MINOT)

LE SEIGNEUR AUTEUR (1768)

Je sais bien que non, tant que vous avez eu ce secrétaire un peu fou, que vous aimiez tant. (Acte 1, scène 1, DUPRÉ)
J'en suis bien éloigné et si j'en trouvais, je les donnerais tout à l'heure à Monseigneur. (Acte 1, scène 1, DUPRÉ)
Fort bien. (Acte 1, scène 1, LE DUC)
En vérité, Monseigneur, si vous vouliez m'entendre, vous auriez bientôt fait. (Acte 1, scène 1, DUPRÉ)
Hé bien, Monsieur le Docteur, parlez. (Acte 1, scène 1, LE DUC)
Je le leur ai dit ; cependant, je crois que vous feriez bien. (Acte 1, scène 1, DUPRÉ)
La nature et la vérité, il y a bien du mérite à toujours copier, où est donc le génie ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR RONFLANT)
Nous serions bien sûrs d'avoir de quoi admirer. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DÉCOUSU)
Non, au contraire, c'est un couplet ; ainsi vous voyez bien. (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Oui, un bouquet, pour une femme que j'aime, et vous sentez bien qu'il faut que cela soit neuf, qu'il faut de la pensée. (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Hé bien, votre couplet est fait. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR RONFLANT)
Cela va bien. (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Oui, de ses grâces ; c'est très bien vu. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR RONFLANT)
Font répéter, font répéter ; il y a bien de quoi ; c'est qu'il faut peindre en chantant. (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Personne que vous ne pourrait dire aussi bien : (Acte 1, scène 2, MONSIEUR RONFLANT)
Parbleu, je le crois bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DÉCOUSU)
Je suis bien aise que vous en soyez contents. (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Hé bien ; croiriez-vous que ce matin j'ai été au point de croire que je ne parviendrais jamais à faire ce couplet ? (Acte 1, scène 2, LE DUC)
J'ai grand besoin que Monsieur_le_Duc veuille bien leur faire parler par quelqu'un. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR RONFLANT)
Je le veux bien, vous me direz par qui. (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Hé bien, Monseigneur, votre couplet ? (Acte 1, scène 3, DUPRÉ)
Je savais bien que vous en viendriez à bout, je n'avais garde de renvoyer ces Messieurs. (Acte 1, scène 3, DUPRÉ)

LE CHANOINE DE REIMS (1781)

C'est qu'il a eu bien des affaires à ses vignes ; mais il est revenu. (Acte 1, scène 1, DAME MONIQUE)
Oui, Monsieur, et je lui ai dit que ces Messieurs étaient venus le demander bien des fois. (Acte 1, scène 1, DAME MONIQUE)
Eh bien, ne soyez donc pas longtemps. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FESTONS)
C'est ici tout près dans la rue_pavée_d_Andouilles. C'est que Monsieur_le_Chanoine, chez qui est le nôtre, a des vignes dans le même canton, qui ne sont pas si bonnes tout-à-fait ; mais le vin en est pourtant bien bon. (Acte 1, scène 1, DAME MONIQUE)
Fort bien. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FESTONS)
Mon_Dieu, tenez, nous avions chez nous un beau Monsieur qui y était logé, qui me trouvait bien gentille. (Acte 1, scène 1, DAME MONIQUE)
J'en serais bien fâchée. (Acte 1, scène 1, DAME MONIQUE)
J'aime bien que tu me dises cela, quand tu n'es venu à Reims avec moi que pour causer avec cet Abbé_de_la_Craie, et que tu m'as retenu deux jours de plus que je ne voulais pour l'attendre. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FESTONS)
Tu sais bien que je n'ai pas le sol ; ainsi je n'ai pas envie de rester ici sans toi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR COLLIGER)
Eh bien, va-t-il venir Monsieur_le_Chanoine ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR COLLIGER)
Eh bien, je m'en vais toujours faire préparer les chevaux ; mais après cela je ne retarde plus, je t'en avertis. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FESTONS)
Il se fait bien attendre Monsieur_le_Chanoine. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR COLLIGER)
Dame, il n'a pas de si bonnes jambes que vous ; il ne peut pas aller aussi vite, quoiqu'il se porte bien. (Acte 1, scène 4, DAME MONIQUE)
Messieurs, j'ai bien l'honneur de vous souhaiter le bonjour. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Je suis bien fâché de ne l'avoir pas vu. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
J'en ai de bien pressées, et je voudrais vous demander si vous ne pourriez pas me rendre un service intéressant ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR COLLIGER)
Vous ferez bien, Dame_Monique. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Monsieur, je vous demande bien pardon ; mais c'est qu'à mon âge il faut se mettre un peu à son aise. (Acte 1, scène 6, L'ABBÉ)
On me l'a bien dit à Paris, que si je pouvais causer un peu avec vous, je saurais les choses très exactement, et c'est ce qui m'a fait venir. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR COLLIGER)
Je ne me rappelle pas bien... (Acte 1, scène 6, L'ABBÉ)
Fort bien. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR COLLIGER)
Cela est bien honnête. (Acte 1, scène 9, L'ABBÉ)
Il avait à côté de lui le Chanoine_Long-Brun, qui était maigre et sec ; mais qui buvait bien du vin. (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Ce même jour, le Chanoine_Blondinau s'en plaignit beaucoup, il était dans une colère qui nous fit bien rire ; il me semble que je le vois. (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Vous voyez si j'ai la mémoire bien présente. (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Bien exactement ? (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Mais vous voyez bien que vous me menez à Beauvais, quand il n'est question que de ce qui s'est passé à Reims. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR COLLIGER)
Cela est bien aisé à dire ; je n'ai pas encore eu le temps de rien manger. (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Celui-là était bien salé ; il me semble que je le vois encore. (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Eh bien, buvons un coup, dit le Chanoine_Ventrin. (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Il était pourtant bien bon ! (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Eh bien, Dame_Monique, le Doyen ? (Acte 1, scène 12, L'ABBÉ)
Il faut que je sois bien malheureux ! (Acte 1, scène 12, MONSIEUR COLLIGER)
C'est ce que je ferai, je vous en réponds bien. (Acte 1, scène 13, L'ABBÉ)

LE SOURD (1771)

Ah, ça ma fille, je n'ai point voulu vous parler de mariage jusqu'à présent ; mais vous verrez arriver aujourd'hui le fils de Monsieur Dumont, qui est un garçon sage, aimable que je vous destine ; il vient ici par le carrosse de Tours, préparez vous à le bien recevoir. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
Je le crois bien. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
Il ne faut pourtant pas que Monsieur Dumont le sache ; mais il faut le bien recevoir. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
Hé bien, puis que vous êtes si pressée, je ne veux pas perdre de temps, je suis de votre avis ; je m'en vais chez mon Notaire faire dresser les articles, je ne veux pas que cela traîne ; peste ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
Oh, je le crois bien, que vous trouvez que j'ai raison. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
À la bonne heure ; c'est toujours bien fait de s'expliquer, on ne se querelle jamais que faute de s'entendre. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
Je n'ai plus que faire de vous recommander de bien recevoir Monsieur Dumont. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
Adieu, adieu, je reviendrai bientôt. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE L'ORME)
Hé bien, Mademoiselle ; avez-vous parlé à Monsieur votre père ? Est-il vrai que son Monsieur Dumont arrive aujourd'hui ? (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
Ah, qu'il s'en garde bien ! (Acte 1, scène 3, MADEMOISELLE DE L'ORME)
Mon père va rentrer : Henriette va plutôt le trouver, dis-lui bien... (Acte 1, scène 3, MADEMOISELLE DE L'ORME)
Hé bien, dis moi donc, pourquoi ne vient-il pas aussi le bonhomme Dumont ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE L'ORME)
Quant à moi, je la trouverais bien dégoûtée si elle ne t'aimait pas déjà. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE L'ORME)
Combien il a de rente ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE L'ORME)
Voilà bien comme sont les gens d'affaires, ils n'estiment un homme que selon le revenu qu'il a ; pour moi celui-ci me plaît fort. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE L'ORME)
Il vous connaît bien. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE L'ORME)
Fort bien. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR RONSIN)
Vous entendez bien cela, et moi aussi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE L'ORME)
Hé mais je le crois bien, je ne fais que de bonnes affaires, moi ; signons, signons. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE L'ORME)
Hé bien le voilà. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE L'ORME)
Hé bien, parlez donc. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE L'ORME)
Mon gendre, vous voulez bien ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE L'ORME)
Fort bien, fort bien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE L'ORME)
Je le sais bien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE L'ORME)

L'HOMME QUI CRAINT D'AIMER (1771)

Eh bien ! (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Oui, elle était bien. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Elle s'en aperçut bien, à ce qu'elle m'a dit depuis ; et comme je lui plaisais, elle fut charmée de trouver une occasion de m'engager encore plus fortement et de s'assurer de moi. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Moi, Madame, je ne sais pas pourquoi, et vous en conviendriez bien, si j'avais l'honneur d'être un peu plus connu de vous, cela n'empêche pas que je ne sois extrêmement flatté... (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Le Comte prétend que vous êtes devenu un peu sauvage ; mais c'est qu'il est bien léger et qu'il ne tient pas un plan. (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
D'ailleurs plus on pense, plus on est malheureux ; il semble que c'est à force de parler beaucoup, qu'on parvient à se convaincre que les gens qui ne peuvent s'attacher à rien, évitent bien des maux. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Mais, n'être attaché à rien, c'est précisément nager dans le vide ; ce n'est pas exister, vous en conviendrez bien ? (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Je ne veux pas abuser plus longtemps de votre complaisance ; je sens combien peu je suis amusant, et je sors pénétré de la bonté avec laquelle vous m'avez souffert. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Vous devez juger les ouvrages d'esprit et de sentiment, avec le tact le plus fin, j'en suis convaincue ; mais si vous ne voulez pas dire votre avis, nous vous en fournirons ; car vous souperez avec moi, et vous sentez bien qu'on parlera un peu de la pièce nouvelle. (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Vous jouez très bien la Comédie, j'en suis sûre, je veux que vous la jouiez avec nous. (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Vous devez bien jouer les rôles d'amoureux. (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Non, Madame, je ne joue que les valets ; et je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Hé bien, le Chevalier s'en va ? (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
Il m'a dit qu'il ne faisait que les valets, qu'il était bien mon serviteur, et il s'est enfui. (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)

DAME JEANNE (1781)

Eh bien, Boivin, comment as-tu trouvé le vin du réfectoire aujourd'hui ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR RAISIN)
Je le crois bien, j'ai de la peine à en avoir : on m'en a pourtant promis une bouteille aujourd'hui. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR RAISIN)
Et combien contient-elle ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BOIVIN)
Messieurs, tout va bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA VIGNE)
Moi, je le voudrais, parce qu'il y verrait combien nos parents nous plaignent de boire de si mauvais vin. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA VIGNE)
Quand on fait si mauvaise chère, il faut bien s'en récompenser d'un autre côté. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BOIVIN)
Non, eh bien ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR RAISIN)
Sais-tu bien que la soupe me faisait grand mal au coeur, à voir seulement, aujourd'hui. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR RAISIN)
Eh bien, allons nous en aussi, nous verrons comment va le trou. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE LA VIGNE)
Eh bien, Monsieur, c'est que j'y suis au fait, voilà pourquoi je vous parle si hardiment ; et quand vous craignez que cette maison-ci ne perde sa bonne réputation, moi je crains qu'il ne soit déjà trop tard pour la rétablir. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR D'AVARIN)
Eh bien, Monsieur_le_Principal, cette Dame-Jeanne dont ils parlent tous les jours... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR D'AVARIN)
Je le fais bien. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR D'AVARIN)
Soyez bien sûr avant que d'agir. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Eh bien, interrogez-les, pendant que je vais chercher partout. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR D'AVARIN)
Eh bien, je vais l'implorer pour savoir... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Quand je t'ai dit qu'elle était bien plus grosse, La_Vigne avait bien raison. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BOIVIN)
J'ai bien ri toujours, quand j'ai vu La_Vigne qui s'était fourré dans le trou du mur, et qui ne pouvait pas s'en retirer. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR RAISIN)
Eh bien, dites moi donc, mes amis, mes enfants, qui peut causer votre joie, exciter vos ris ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Eh bien, vous n'en riez pas avec moi ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Eh bien, Messieurs, suis-je en droit, après ce que je viens d'entendre, de vous demander ce que c'est que cette Dame-Jeanne ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Elle était donc bien grosse ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Fort bien, La_Vigne ! (Acte 1, scène 7, MONSIEUR RAISIN)
Si je dois donner l'exemple de faire du bien, dois-je trouver mauvais que vous en fassiez. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Eh bien, Monsieur_le_Principal, nous convenons de nos torts ; mais je crois facile de les réparer. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA VIGNE)
Puisque vous le voulez bien... (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA VIGNE)
Écoutez-moi, combien donniez-vous à vous dix ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Fort bien ! (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Eh bien, qu'est-ce que vous dites donc là tous les trois ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Pardi La_Vigne a eu là une bien bonne idée. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BOIVIN)
Eh bien, Monsieur, vous les approuvez ? (Acte 1, scène 9, MONSIEUR D'AVARIN)
Mais comme il n'y a pas de remède, voyant combien je les approuvais d'une action si louable... (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Ils ont bien voulu m'associer à cette bonne oeuvre, je leur ai donné un louis pour cela. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Oui, mon ami ; et j'ai été si enchanté de voir combien mes soins avaient fructifié dans leur âme, que j'allais vous chercher pour me féliciter avec vous, de l'esprit de charité qui règne dans cette maison ; c'est la récompense la plus douce et la plus flatteuse que nous puissions recueillir de nos principes et de nos soins. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE LA RIVIÈRE)
Je le crois bien, ils allaient plus loin, ils la faisaient eux-mêmes. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR D'AVARIN)
Il est vrai : il nous a même paru plaisant ; mais nous nous sommes repentis promptement, et si vous voulez bien vous le rappeler, vous n'avez pas voulu nous entendre, ni reprendre votre argent. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE LA VIGNE)
Songez, Monsieur, combien nous vous respectons, et que c'est la crainte de vous causer le moindre chagrin qui nous a empêché de nous plaindre. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE LA VIGNE)

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LE PEINTRE EN CUL-DE-SAC. (1822)

Eh bien, le Gris, c'est-il fini ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE MAIRE)
Je le sais bien ; et encore cela sent mauvais toute la journée. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE MAIRE)
Mais je l'irai bien chercher, moi ; où faut-il aller ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE GRIS)
Eh bien, avons-nous la permission ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR LE MAIRE)
C'est très bien ; je vous ai la plus grande obligation. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR LE MAIRE)
C'est bien vrai ce que vous dites là ; ils commencent un ouvrage, et puis ils s'en vont, et vous ne les revoyez plus : mais pourquoi envoyer chercher votre peintre pour cela ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR LE CLERC)
Oh, je trouverai bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR LE GRIS)
J'avais bien pensé à demander de l'acheter, il n'y a pas d'autre porte que la mienne ; mais on m'a dit que cela serait impossible. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR LE MAIRE)
Cela sera-t-il bientôt fait ? (Acte 1, scène , MONSIEUR LE MAIRE)
Pour tout-à-l'heure ; mais c'est que j'ai ici près un ouvrage de commencé, qui sera bientôt fini. (Acte 1, scène , MONSIEUR RAPHAËL)
Eh bien, mettez-vous à la besogne tout de suite, mon cher monsieur Raphaël ; je vous paierai bien. (Acte 1, scène , MONSIEUR LE MAIRE)
Messieurs, divertissez-vous tant qu'il vous plaira; rira bien qui rira le dernier, comme dit l'autre ; et puis votre argent est toujours bon ; et voilà le principal. (Acte 1, scène , MONSIEUR RAPHAËL)
C'est il bien comme cela ? (Acte 1, scène , MONSIEUR RAPHAËL)
Non, j'ai affaire ; je suis bien aise de vous savoir tout-à-fait hors d'inquiétude. (Acte 1, scène , MONSIEUR LE CLERC)
J'ai bien mal au ventre, moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR RAPHAËL)
Ce monsieur me paiera bien ; j'irai boire un coup tout de suite pour me refaire. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR RAPHA?L)
Eh bien, monsieur Raphaël, cela avance-t-il ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR LE MAIRE)
Cela va fort bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR LE MAIRE)
J'ai pourtant bien fait balayer. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR LE MAIRE)
Il n'y a pas à s'impatienter ; je vous dirai bien qui a fait cela. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR RAPHAËL)
Eh mais, monsieur, c'est moi ; il ne faut pas chercher bien loin ce qui est bien près. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR RAPHAËL)
Monsieur, je serai toujours bien à votre service. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR RAPHAËL)

LES VOYAGEURS (1781)

Oui ; ainsi vous savez bien ce que vous avez à faire. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DU HABLE)
D'ailleurs, vous leur faites bonne chère, et ils ne souperaient pas si bien, et ne seraient pas si bien couchés à d'autres postes. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DU HABLE)
Oui vraiment ; mais il y a un Abbé qui jure comme un possédé, et qui dit qu'il nous en fera bien trouver. (Acte 1, scène 2, ANDRÉ)
Fais sortir ceux qui sont dans l'écurie dans le verger, et ferme bien la porte du jardin. (Acte 1, scène 2, MADAME ROUGEAU)
Il fait sa tournée, et il a bien du monde. (Acte 1, scène 3, MADAME ROUGEAU)
Et vous ferez bien. (Acte 1, scène 3, L'ABBÉ)
Vous ne voyez rien ; quand j'ai pensé être Cornette_de_Dragons, je jurais bien mieux que cela. (Acte 1, scène 4, L'ABBÉ)
Mon oncle avait un lieutenant dans sa compagnie, qui s'appelait Pinçon, qui m'en avait bien appris d'autres. (Acte 1, scène 4, L'ABBÉ)
Il faut en avoir bien soin. (Acte 1, scène 4, MADAME DE MORTILLIERE)
Cela est très bien pensé. (Acte 1, scène 4, MADAME DE MORTILLIERE)
Vous voyez bien, Mesdames, que je savais bien que je vous en ferais avoir. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Oui ; mais, Monsieur_l_Abbé, je ne sais pas si vous ferez bien de vous en servir. (Acte 1, scène 5, MADAME ROUGEAU)
Eh bien, Madame, je m'en vais le dire à Monsieur_l_Abbé. (Acte 1, scène 5, MADAME ROUGEAU)
Cela est bien certain ? (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Mesdames, je vous demande bien pardon. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU HABLE)
Oui, Monsieur, nous serons bien aise de causer avec vous. (Acte 1, scène 6, MADAME DE SOUSAY)
Nous voudrions savoir si nous ferons bien de traverser la forêt la nuit. (Acte 1, scène 6, MADAME DE MORTILLIERE)
Pour moi, je n'aurais pas peur ; mais quand on est avec des femmes, vous sentez bien qu'on est fort embarrassé. (Acte 1, scène 6, L'ABBÉ)
Je me suis bien douté qu'il reparaîtrait à droite. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU HABLE)
Je n'en suis pas bien sûr ; mais je vais y voir. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU HABLE)
Oh, Monsieur, ils sont bons, ils vous mèneront bien. (Acte 1, scène 7, MADAME ROUGEAU)
Je sais tout ce qu'il faut à des Dames comme celles-là ; ne vous inquiétez pas, Monsieur l'Abbé, vous serez aussi très bien couché. (Acte 1, scène 7, MADAME ROUGEAU)
Voulez-vous bien attendre ? (Acte 1, scène 7, L'ABBÉ)
Ils sont bien à la main. (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Eh bien, qu'est-ce que c'est donc que cela ? (Acte 1, scène 8, L'ABB?)
Ils sont bien conditionnés. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU HABLE)
Et combien vous ont-ils coûté ? (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Eh bien, nous vous en faisons présent. (Acte 1, scène 8, MADAME DE SOUSAY)
Voulez-vous bien finir cette enfance-là, l'Abbé ? (Acte 1, scène 8, MADAME DE SOUSAY)
Oui, Madame, et assez bien ; d'ailleurs, j'ai encore quatre personnes avec moi qui le sont aussi. (Acte 1, scène , MONSIEUR PINÇON)
C'est fort bien à vous. (Acte 1, scène , MONSIEUR PINÇON)
Ah oui, l_Abbé, c'est bien fin, à cette heure que vous le connaissez. (Acte 1, scène , MADAME DE MORTILLIERE)
Monsieur_du_Hable, je vous l'avais bien dit. (Acte 1, scène , MADAME ROUGEAU)

LE BOITEUX. (1783)

Hé bien, Grand-Pierre ? (Acte 1, scène 1, ROSALIE)
Tu es bien poltron ! (Acte 1, scène 1, JUSTINE)
Ne te paye-t-il pas bien ? (Acte 1, scène 1, JUSTINE)
C'est bien vrai. (Acte 1, scène 1, GRAND-PIERRE)
Hé bien, si nous ne faisions pas toutes les réponses au nom de Mademoiselle_Javotte, aurais-tu ces vingt écus ? (Acte 1, scène 1, JUSTINE)
J'entends bien cela ; mais comme il passe à tout moment devant sa porte, j'ai toujours peur qu'il n'entre dans la maison. (Acte 1, scène 1, GRAND-PIERRE)
Attendez que je voie si Mademoiselle_Javotte est dans la boutique ; parce que pendant que je suis ici, Monsieur_Raimond pourrait bien venir. (Acte 1, scène 1, GRAND-PIERRE)
Je vous souhaite bien le bon jour, Mademoiselle_Javotte. (Acte 1, scène 2, DE L'AUNE)
Je suis bien votre servante, Monsieur De l'Aune. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Vous vous portez bien aujourd'hui, Mademoiselle_Javotte ? (Acte 1, scène 2, DE L'AUNE)
Fort bien. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Vous avez bien de la bonté. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JAVOTTE)
J'ai bien fait d'aller voir ; elle est dans la boutique. (Acte 1, scène 2, GRAND-PIERRE)
Et puis vous le verrez bien. (Acte 1, scène 2, GRAND-PIERRE)
Je vous remercie bien, Monsieur, de ce que vous m'avez envoyé avec votre lettre ; c'est bien galant à vous ; aussi je ne vois personne qui vous ressemble. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR RAIMOND)
J'ai bien du regret de ne pas pouvoir vous parler ; il faut que je fasse comme cela, à cause de ma mère, qui me dit toujours qu'il faut fuir l'amour, parce que tous les hommes sont des trompeurs ; je ne crois pourtant pas que vous en soyez un ; c'est pourquoi... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR RAIMOND)
Cela est bien vrai ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR RAIMOND)
Mais, dis donc, n'ai-je pas bien raison de l'aimer de tout mon coeur ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR RAIMOND)
Vous me paraissez bien malin, vous, Monsieur_Raimond. (Acte 1, scène 4, GRAND-PIERRE)
Ah, j'oubliais bien le meilleur. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR RAIMOND)
Je le vois bien. (Acte 1, scène 4, GRAND-PIERRE)
Je suis bien charmé, Mademoiselle, de ce que vous me faites l'honneur de me dire, que tout ce qui vient de moi vous fait toujours plaisir ; je le redouble aujourd'hui ce plaisir, en vous envoyant deux paires de bas, au lieu d'une que vous m'avez demandée ; je vous prie de les accepter ; je crains seulement qu'ils ne soient trop larges, pour une jambe aussi jolie que la vôtre. (Acte 1, scène 5, JUSTINE)
Il n'est pas trop empressé ; ainsi, tu vois bien, que tu n'as rien à craindre. (Acte 1, scène 5, ROSALIE)
Ah bien, je m'en vais vous laisser faire. (Acte 1, scène 5, GRAND-PIERRE)
Je voudrais bien avoir une montre. (Acte 1, scène 5, JUSTINE)
Tu as raison ; c'est bien imaginé. (Acte 1, scène 5, JUSTINE)
Votre tapisserie est-elle bien avancée ? (Acte 1, scène 7, MADAME LOUVIER)
Presque jamais rien, surtout depuis quelque temps ; il me paraît même bien triste. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Bien triste ? (Acte 1, scène 7, MADAME LOUVIER)
Oui, quand vous y êtes ; mais avec moi, il est bien différent. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Oh, je jurerais bien qu'il ne m'attrapera pas ; vous ne le connaissez pas, Maman ; il n'est pas assez malin pour cela ; je l'attraperais plutôt, moi. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Gardez-vous en bien. (Acte 1, scène 7, MADAME LOUVIER)
Si vous voulez le savoir, cela sera bien plutôt fait. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Oh bien, laissez, laissez-moi faire. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Vous me paraissez bien savante. (Acte 1, scène 7, MADAME LOUVIER)
Oh, je le sais bien ; parce que tout cela n'est pas vrai ; et j'en suis bien fâchée ! (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
C'est fort bien. (Acte 1, scène 7, MADAME LOUVIER)
Je m'entends bien, Maman. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Je le sais bien, Maman. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Voilà qui est bien ; ne parlons plus de cela. (Acte 1, scène 7, MADAME LOUVIER)
Madame, je vous demande bien pardon. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR RAIMOND)
Je suis bien votre très humble serviteur. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR RAIMOND)
Et je vous ai bien vu. (Acte 1, scène 8, GRAND-PIERRE)
Oui, oui ; cela ne m'arrivera plus, bien sûrement. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR RAIMOND)
Tiens, tâche, dès que tu le pourras, de donner ceci à Mademoiselle_Javotte, et de lui dire que je suis bien fâché de n'avoir pas vu sa mère ; que je n'aurais pas tenté de lui parler malgré elle, que je lui en demande bien pardon. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR RAIMOND)
Tu comprends bien ? (Acte 1, scène 8, MONSIEUR RAIMOND)
C'est fort bien ; je vais acheter ce bonnet qu'elle me demande. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR RAIMOND)
Allez, allez ; ces Demoiselles vous serviront bien. (Acte 1, scène 8, GRAND-PIERRE)
Je le crois ; et combien le vendez-vous ? (Acte 1, scène 9, MONSIEUR RAIMOND)
Hé bien, Monsieur ; c'est douze francs, ni plus, ni moins. (Acte 1, scène 9, ROSALIE)
C'est bien le plus joli caractère du monde ! (Acte 1, scène 9, ROSALIE)
C'est bien vrai cela, qu'elle est charmante, Mademoiselle_Javotte. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR RAIMOND)
Voilà votre bonnet qui va être bientôt fini. (Acte 1, scène 9, ROSALIE)
Adieu, Mesdemoiselles ; je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR RAIMOND)
Hé bien, le bonnet_à_la_grippe a bien réussi. (Acte 1, scène 10, JUSTINE)
C'est bien penser... (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
C'est-il bien loin, Melun ? (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Bien loin, bien loin ? (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Ni moi non plus, j'en suis bien sûr. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Ah ! Il disent quelquefois des choses bien heureuses. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Je sais bien à qui elle ressemble. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
C'est bien dommage, qu'on ne puisse pas être comme les personnages des livres ! (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Hé bien, ne me regardez pas. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Et qui voudraient bien être aimés. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Vous seriez donc bien aise d'être Hippolite ? (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
J'imite bien plus en cela Hippolite que vous n'imitez Julie ; et voilà mon malheur, à moi. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Sans cet amour, je vous aimerais bien ; ayez de l'amitié. (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Je vous réponds de vous bien garder le secret. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
C'est bien penser. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Je vous dirais bien encore autre chose, si vous vouliez m'aimer toujours. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Hé bien, Monsieur De l'Aune, dites, je vous le promets ; qu'est-ce que c'est ? (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Je voudrais bien que vous voulussiez lire ce que... je vous ai écrit, il y a déjà longtemps. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Vous en seriez donc bien aise ? (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Bien aise ? (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Cela serait bien heureux. (Acte 1, scène 11, DE L'AUNE)
Je le voudrais bien, Monsieur, et votre neveu aussi. (Acte 1, scène 12, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Monsieur, ce n'est pas le bien qui me fait souhaiter... (Acte 1, scène 12, MADEMOISELLE JAVOTTE)
Je n'ai jamais eu d'autre dessein, Mademoiselle ; vous le savez bien, et... (Acte 1, scène 13, MONSIEUR RAIMOND)
Vous vous trompez de nom, Mademoiselle ; quant à mes intentions, je suis bien aise que Monsieur les approuve ; puisque vous le désirez. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR RAIMOND)
Je le croyais bien partout ce que j'ai lu ; mais vous êtes encore au-dessus de tout ce que je pensais : cependant, vos lettres m'enchantaient ! (Acte 1, scène 13, MONSIEUR RAIMOND)
Non, je ne suis pas votre oncle ; en voici bien d'une autre ; quelle fantaisie ! (Acte 1, scène 13, MONSIEUR RAIMOND)
Monsieur, je vous demande bien pardon, de vous avoir fait attendre. (Acte 1, scène 14, MADAME LOUVIER)
J'ai aimé Mademoiselle_Javotte, dès que je l'ai vue. J'ai du bien ; mais j'ai voulu avoir son consentement, avant de vous la demander. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR RAIMOND)
Hé bien, Monsieur ? (Acte 1, scène 14, MADAME LOUVIER)
Oui, Mademoiselle ; il n'est plus temps de dissimuler : vous savez comme je vous aime ; je vous donne tout mon bien, si... (Acte 1, scène 14, MONSIEUR RAIMOND)
Hé bien, Monsieur, je vais tout avouer. (Acte 1, scène 14, GRAND-PIERRE)
Hé bien, Madame, tout ce qu'a dit Monsieur est très vrai. (Acte 1, scène 14, GRAND-PIERRE)
Ah, Monsieur, par d'aimables Demoiselles, que cela divertissait beaucoup, nos voisines d'ici à côté, et qui ne vous demandent rien pour cela ; car vous les avez bien payées. (Acte 1, scène 14, GRAND-PIERRE)

LE SOT HÃ‰RITIER (1781)

Eh bien ? (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Que Monsieur_Berniquet ne veuille vous obtenir de Monsieur votre père, et que le bien dont il vient d'hériter ne le tente ; voilà tout ce que je voudrais savoir ; et pour cela, il faut que j'entende leur conversation. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR D'ALVIN)
Oui, oui, par ici ; je connais bien la maison. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Dites-lui de ne me pas faire attendre, car je suis bien pressé. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Je compte pourtant qu'il vous fera bien rire. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Vous me croyez donc un bien mauvais coeur ? (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Vous le devinez bien ; mais vous faites semblant de rien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh bien, tenez, ce que vous me dites là fait que je vous trouve encore plus charmante, parce que, moi, j'aime que les Demoiselles aient de la pudeur. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Cela est bien vrai. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Cependant je vous entends bien, moi ; je n'ai pourtant pas plus d'esprit que vous, du moins à ce que je crois. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Il est bien flatteur que vous vouliez bien m'en trouver un peu. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Cela ne sera plus nécessaire, puisque vous le saurez aussi bien que moi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Retenez bien cela. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Les filles disent toujours cela ; mais quand on les marie, elles en sont bien aises. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Que je m'en donnerai bien de garde. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNIQUET)
Moi, je vous en ai parlé hier au soir, dès que mon grand-oncle a été mort, et j'ai eu bien des affaires depuis, parce que l'enterrement sera pour ce soir. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh bien, il vous donne tout, votre oncle ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE PRECINAT)
Il y a bien longtemps : c'était un mauvais sujet, il tuait tout le monde ; voilà pourquoi on l'avait envoyé bien loin. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
J'en aurAis été bien fâché ; c'est une écriture de chicane. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
Les casseroles sont bien grandes. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
Comme tous les autres : j'ai emprunté tant que j'ai pu, parce que je disais : j'hériterai bientôt, et il faut que je fasse figure. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
Et combien devez-vous ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE PRECINAT)
Il y a treize mois bien comptés. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
Ainsi je dis donc, si vous voulez, je vais signer un dédit ; mais il faut que je me dépêche à cause de l'enterrement de mon grand-oncle, qui va se faire bientôt. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh bien, je vous ferai la révérence. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BERNIQUET)
Je voudrais bien que ce fût sur une chose que je désire. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Nous avions bien résolu de vous en parler, et nous ne l'avons jamais osé. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Il avait bien quelque inquiétude, il craignait que tu n'en aimasses un autre. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE PRECINAT)
Fort bien. (Acte 1, scène 6, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Eh bien ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR D'ALVIN)
J'ai bien ri toujours ; et puis mes camarades qui portaient la queue des manteaux de leurs maîtres se sont bien moqués de lui ; enfin, il était furieux. (Acte 1, scène 7, LA FRANCE)
Voici Monsieur votre père ; je m'enfuis : je reviendrai bientôt de chez le Notaire. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR D'ALVIN)
Vous me paraissez bien affligé de la mort de cet homme-là. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Mais il était bien vieux. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Pardonnez-moi, les vieillards ne sont pas des amis bien chauds. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Et tout cela pour faire des neveux bien riches, qui n'attendent que leur mort pour avoir leur succession, et la dépenser promptement. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Monsieur_Berniquet en est un exemple ; car il n'aimait pas son oncle, et cependant le voilà très riche de ses bienfaits. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
De combien hérite-t-il à-peu-près ? (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Non ; mais il a un bien assuré, et que personne ne peut lui disputer, vous en conviendrez bien ? (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE DE PRECINAT)
Eh bien, Monsieur_Berniquet, il est donc vrai que vous n'avez plus d'espérance ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE PRECINAT)
Oui vraiment, et ils sont arrivés bien à propos pour l'enterrement ; je ne me suis plus trouvé que le cinquième. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Tout au contraire, leurs maîtres m'ont fait cent politesses, et ils m'ont bien remercié des soins que j'ai pris de mon oncle ; je crois que cela fera des cousins fort honnêtes. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
J'aurais bien de quoi m'affliger encore plus si je voulais. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh pardi, vous savez bien. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Mais elle est amoureuse de moi ; pardi, je le sais bien, apparemment : que voulez-vous qu'elle devienne ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Je crois qu'il serait bien embarrassé d'en nommer un autre. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh bien voyons. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh bien, je ne croirai ce mariage-là que quand je le verrai. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh bien, mariez donc Mademoiselle à Monsieur_d_Alvin pour voir, je vous en défie. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Oui, oui, comptez sur sa parole ; vous voyez bien qu'il ne l'a pas tenue avec moi. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Pardi, je suis bien malheureux. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Monsieur, je vous trouve bien bon, quoique vous m'enleviez ma femme. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Eh bien, je vais vous donner cinquante_louis et une chaise de poste ; allez-vous-en chez moi m'attendre, je vous y ferai trouver la chaise et des chevaux. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR D'ALVIN)
Mais ils le sauront bientôt. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Adieu, Mademoiselle, si vous me regrettez, j'en serai bien fâché ; mais pour Monsieur votre père, je ne le regrette pas, je suis trop fâché contre lui. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNIQUET)
Vous ferez bien ; mais revenez tout de suite, vous trouverez ici le Notaire, et nous signerons le contrat. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE PRECINAT)

LES DEUX ANGLAIS (1771)

Hé bien, Monsieur, tuez-moi, si vous le trouvez mauvais, cela m'est fort égal ; vous me ferez même grand plaisir ; parce que dans le moment, je vais me jeter dans la rivière. (Acte 1, scène , HENRI)
Sûrement ; je ne dispute pas sur la liberté ; mais je trouve seulement, que vous êtes bien jeune pour cela. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Ce n'est pas un malheur, je voudrais être comme vous, je suis embarrassé avec tout mon bien, cela il m'ennuie, je ne sais plus que faire, je veux finir cet embarras là, en me noyant. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Je ne comprends pas bien quel bonheur donc vous parlez ; j'ai connu tout ce qu'on appelle bonheur, ils n'en font point. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Il y a deux mois que je vis Lady à la campagne chez une de ses parentes, j'eus le bonheur de lui plaire ; son père est très riche, et sans bien. (Acte 1, scène , HENRI)
Sûrement, je réponds pour vous ; si c'est du bien qu'il vous faut, j'en ai beaucoup trop, je vous dis, et je vous donne la moitié pour que vous ayez votre Lady, il est restera encore plus qu'il ne faut à ma fille, pour la marier ; et le père de votre Lady, il a tort de vouloir un gendre riche. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Non, je ne suis point généreux ; au contraire, je voudrais avoir trouvé un gendre comme vous, qui voulût se charger du poids des affaires que le bien entraîne, je lui donnerais ma fille tout présentement. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Hé bien, je suis Milord Wittham, et je trouve fort mal que vous pensiez de moi comme vous avez dit. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Allons, je vous donne ma fille et tout mon bien, si vous voulez accepter. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Oui, je vous dis, à condition que vous prenez tous le bien et que je ne fais plus aucun calcul, que je n'en entends plus parler ; pour lors, je retourne avec vous à Londres. (Acte 1, scène , WITTHAM)
Vous voyez bien que vous n'étiez pas encore dans le moment de mourir dans la rivière. (Acte 1, scène , WITTHAM)

LES FOUS (1771)

Fort bien , fort bien. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DISSONANT)
Ah, quel plaisir, qu'il fait de bien ! v.51 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Hé bien, mon encre, ma plume, qu'en avez-vous fait ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Ah, quel plaisir , qu'il fait de bien ! v.54 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Monsieur, vous me prenez bien mon encre. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Oh bien, l'on m'en donnera d'autre. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Ah, quel plaisir, qu'il fait de bien ! v.66 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Ah, quel plaisir, qu'il fait de bien ! v.67 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Ah, quel plaisir, qu'il fait de bien § v.68 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien, v.69 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien, v.70 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien, v.71 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien. v.72 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DISSONANT)
Dans combien de temPs faut-il que je sois chez Madame de Versant ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DESJARRETS)
C'est fort bien ; mais faites taire votre maudit violon, vous me faites perdre le ton, je ne sais plus où j'en fuis... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Ah, quel plaisir, qu'il fait de bien. v.74 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Ah, quel plaisir qu'il fait de bien ! v.75 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien, v.76 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien. v.77 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Cela va bien, je tiens ma marche. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DESJARRETS)
Ah, quel plaisir, qu'il fait de bien. v.78 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien, v.79 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Mais grand bien... v.80 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Je le veux bien, pourvu que vous ne fassiez pas jouer du violon... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DISSONANT)
Nous croisons par ici ? ah, ah, à gauche à présent ? chassez ? fort bien ? non, je tourne, ah , ah ? l'entrelacs.... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DESJARRETS)
Monsieur, voudriez-vous bien me dire... (Acte 1, scène 5, MADAME DOUAIREVILLE)
J'ai envie d'aller attendre mon Procureur chez lui, il faudra bien qu'il revienne du moins pour se coucher. (Acte 1, scène 5, MADAME DOUAIRVILLE)

L'Ã‰CRIVAIN DES CHARNIERS. (1771)

Je le sais bien ; mais ma chère mère ne vous connaît pas. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
Ce n'est pas ma faute, et si vous le vouliez elle me connaîtrait bientôt. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Eh bien ; c'est à lui que ma chère mère veut me marier. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
Si vous m'aimiez bien, vous n'auriez pas de secret pour moi, et j'ai envie de me fâcher (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
Eh bien, qu'est- ce que c'est ? (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
C'est très bien pensé ; mais qu'est-ce que vous ne voulez pas me dire ? (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
Eh bien , Monsieur, allez-vous-en, et ne revenez jamais. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
Revenez bientôt. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
Eh bien, qu'est-ce que tu as à pleurer ? (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
Vous savez bien que vous m'avez accordé en mariage à Monsieur Discret. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JANNETON)
En voici bien d'une autre ! (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
Je dis que j'ai bien peur de ne pas être sa femme. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JANNETON)
Eh bien ? (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
Ah, je ne crois pas celui-là, il peut te faire toutes les infidélités qu'il voudra ; mais il faudra bien qu'il t'épouse, je n'entendrai pas raillerie là-dessus , un honnête homme n'a que sa parole. (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
À présent cela ne fait rien ; mais quand tu seras fa femme, je le ferai bien charrier droit. (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
Ah pardi il ne s'y est pas frotté deux fois ; il te le dirait bien, s'il n'était pas mort, le pauvre défunt ! (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
Laisse-le venir, je lui parlerai, moi, il faudra bien qu'il réponde. (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
Il faut attendre et savoir si tout cela est bien vrai. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JANNETON)
Je veux bien ne lui pas parler ; mais c'est que s'il me fait une fois monter la moutarde au nez... (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
Ne lui disons rien ni l'une ni l'autre, il sera bien embarrassé. (Acte 1, scène 2, MADAME DE L'AIGUILLE)
C'est très bien dit. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JANNETON)
Mais voilà un Monsieur qui cherche quelque chose, il regarde bien notre enseigne. (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE JANNETON)
Madame, je vous demande bien pardon, j'ai oublié mes lunettes et... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
Je le sais bien , Madame, mais c'est que je ne peux pas lire l'enseigne d'un quelqu'un que je cherche. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
Ah, Madame, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
Et puis je serais bien resté debout, surtout autrefois ; parce que je fuis accoutumé à tout. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
Madame ; c'est que je voudrais bien acheter une ou deux paires de chaussons ; c'est selon le prix que vous me le ferez payer. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS P?RE)
Je le veux bien ; mais je n'y gagnerai rien. (Acte 1, scène 3, MADAME DE L'AIGUILLE)
Allons, je le veux bien en saveur de l'ancienne connaissance. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
L'on voit bien que vous êtes sa mère. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
Un jour de la Saint Martin, bon jour bonne oeuvre, est-ce que la roue d'un fiacre ne lui a pas passé fur les deux jambes, qu'il ne s'en est pas relevé, J'ai cru que je le garderais toujours comme cela ; enfin Dieu me l'a ôté, il a bien fallu se faire une raison. (Acte 1, scène 3, MADAME DE L'AIGUILLE)
Eh bien, je suis sûr qu'elle fait votre consolation ; car elle a l'air bien raisonnable. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
Adieu, Madame ; adieu Mademoiselle, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Il est bien poli ce Monsieur-là. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE JANNETON)
Monsieur, je suis bien votre serviteur ; auriez-vous le temps de m'écrire une lettre tout à l'heure ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Voulez-vous bien vous donner la peine, de vous asseoir ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Ah bien, je vous donnerai un remède qui vous emportera cela comme avec un rasoir et sans douleur. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Voilà la lettre qu'elle m'a écrite ce matin, à quoi je veux faire une réponse un peu salée, là , vous m'entendez bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DUBOIS FILS)
« J'ai l'honneur de vous écrire ces lignes pour vous faire à savoir que j'ai bien du chagrin ; parce que je crains déjà que quand je ferai votre femme vous ne m'aimez pas ; voilà pourquoi ma chère mère me défend de vous parler davantage, ce qui met mon coeur en combustion, et que je ne passe pas une nuit sans dormir en rêvant de vous ; ce n'est pourtant pas que je vous aime autant que je vous aimais, voilà ce que je ne voulais pas vous dire , quoique je croie que vous ne m'aimez plus ; mais la plume me tombe des mains pour dire que cela n'est pas vrai , et que je vous aime toujours de tout mon coeur. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Oh, elle écrit bien, ce n'est pas par-là que le pot s'enfuit. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DUBOIS FILS)
C'est bien dit. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Vous connaissez bien le beau sexe. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Je vous entends bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
C'est bien ; mais... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Oh, je fais bien, vous allez voir. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Très bien ; c'est fort bon ! (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Je suis bien aise que vous soyez content ; dame nous autres, il nous passe tant de ces affaires-là par les mains, que j'y suis un peu Grec. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Je le vois bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Est-ce que vous seriez le fils de Monsieur Discret, Facteur de la petite Poste, qui a été tué à l'armée il y a bien longtemps ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DISCRET)
Eh bien, qu'est-ce que tu veux ? (Acte 1, scène 7, MADAME DE L'AIGUILLE)
Jalouse, non ; mais quand on aime bien... (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JANNETON)
On voit bien que vous n'avez jamais aimé. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE JANNETON)
Va, va, j'ai aimé plus que toi et plus que tu n'aimeras de ta vie ; en tout bien et tout honneur dà. (Acte 1, scène 7, MADAME DE L'AIGUILLE)
Eh bien, tu n'as qu'à venir. (Acte 1, scène 8, MADAME DE L'AIGUILLE)
Vous savez bien, ma chère mère, ce bal où j'ai été dans la rue de la Mortellerie, avec ma cousine. (Acte 1, scène 9, MADEMOISELLE JANNETON)
Eh bien, qu'est-ce que tu veux dire ? (Acte 1, scène 9, MADAME DE L'AIGUILLE)
Ce n'est que pour vous dire qu'après lui il n'y a que ce Monsieur là que je puisse aimer ; ma cousine m'a dit que c'était un bon parti, et que si elle n'était pas accordée avec un autre, qu'elle aurait bien voulu de lui. (Acte 1, scène 9, MADEMOISELLE JANNETON)
Dame, écoutez donc, cela pourrait bien être ; car il m'a dit que son père avait bien de la protection, qu'il était débitant de tabac, et que pour lui il aurait bientôt un meilleur emploi. (Acte 1, scène 9, MADEMOISELLE JANNETON)
Mais il faudrait savoir si tout cela est bien vrai, et s'il n'est pas amoureux d'une autre ; car ces chiens d'hommes, il ne faut pas trop s'y fier, après ce qui nous arrive. (Acte 1, scène 9, MADAME DE L'AIGUILLE)
Oh, je fuis bien sûre qu'il est amoureux de moi ; car il me l'a dit ; mais je ne lui ai rien répondu, parce que je comptais épouser Monsieur Discret, cet ingrat-là. (Acte 1, scène 9, MADEMOISELLE JANNETON)
Eh bien, laisse-le approcher. (Acte 1, scène 9, MADAME DE L'AIGUILLE)
Monsieur, vous faites bien de l'honneur à ma fille, et tenez, elle me parlait de vous. (Acte 1, scène 10, MADAME DE L'AIGUILLE)
Quand on a des manières honnêtes, c'est toujours bien fait ; les honnêtes gens sont si rares, surtout dans ce temps-ci. (Acte 1, scène 10, MADAME DE L'AIGUILLE)
Cela est bien vrai. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Il est bien bon ce tabac-là, où le prenez-vous ? (Acte 1, scène 10, MADAME DE L'AIGUILLE)
C'est que l'on ne connaît pas tout le monde, mais je sais un quelqu'un qui serait bienheureux, si vous et Mademoiselle Janneton... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBOIS FILS)
et, elle sait bien ce que je veux dire. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Je suis bien fâchée qu'il n'ait pas voulu manger la soupe avec nous ; cela serait peut-être fini à présent. (Acte 1, scène 10, MADAME DE L'AIGUILLE)
Eh bien, parlez, vous, je parlerai après. (Acte 1, scène 10, MADAME DE L'AIGUILLE)
Il est bien vrai que je n'y avais jamais pensé avant de vous avoir vu ; mais du depuis ce temps-là, je ne pense pas à autre chose. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Tenez, écoutez-moi, mes enfants ; je ne suis qu'une femme, et je ne vais point par quatre chemins ; ce qu'on tient il ne faut pas le lâcher ; allez chercher Monsieur votre père ; s'il est vrai que vous êtes son fils, cela fera bientôt fini ; voilà comme je suis moi, voyez-vous. (Acte 1, scène 10, MADAME DE L'AIGUILLE)
Mais serait-il bien vrai ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBOIS FILS)
Il va être bien étonné de voir que nous vous connaissons. (Acte 1, scène 10, MADAME DE L'AIGUILLE)
Oui vraiment, nous le connaissons et nous le connaîtrons bientôt mieux si vous voulez. (Acte 1, scène 11, MADAME DE L'AIGUILLE)
Bien attaqué, bien répondu ; pour moi je crois que Monsieur vaut bien Madame, et tenez sans barguigner davantage, je dis qu'il faut les marier ensemble. (Acte 1, scène 11, MADAME DE L'AIGUILLE)
C'est bien dit, je vous donne ma parole. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DUBOIS PÈRE)
Fi, c'est bien vilain à vous, Monsieur Discret. (Acte 1, scène 12, MADEMOISELLE JANNETON)
Mais vous savez bien que c'est vous, et je ne saie à quoi il tient... (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DISCRET)
Monsieur, je vous prie de ménager un peu le sexe, ou bien... (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DUBOIS FILS)

LE FAUX EMPOISONNEMENT (1768)

C'est prendre sa revanche, il vous tourmente bien : mais faites une chose plutôt, si vous croyez avoir à vous plaindre de lui, pourquoi ne pas lui parler à coeur ouvert ? (Acte 1, scène 1, JULIE)
Vous vous éviteriez peut-être bien des peines. (Acte 1, scène 1, JULIE)
Ce sera très bien fait, Madame, au lieu de vous laisser dépérir : il faut prendre un parti qui vous sauve du désespoir. (Acte 1, scène 1, JULIE)
Vous deviez être bien sûr de l'impatience que j'aurais de vous voir ; quand on aime véritablement, qui peut nous intéresser assez vivement, pour le préférer à l'objet de notre amour ? (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
Cependant je n'ai point à me plaindre de vous, vous avez eu l'attention de me cachet combien elle vous faisait souffrir. (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
Il me semble que depuis quelque temps vous n'êtes pas bien. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
C'est peu de chose, et le plaisir de me voir entièrement à vous, me remettra bientôt. (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Je crois que vous ne doutez pas combien je désire que rien ne retarde mon bonheur ? (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Eh bien, Julie, ce que je craignais, n'est que trop vrai ! (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)
Ah, Madame; je ne saurais vous rassurer ; Voici une lettre de Madame de Brécy, qu'elle m'a fait donner pour vous remettre lorsque vous seriez seule ; je crains bien... (Acte 1, scène 5, JULIE)
C'est bien fait, Madame, oubliez-le et pour toujours. (Acte 1, scène 5, JULIE)
Eh bien, Madame, ne le revoyez point. (Acte 1, scène 5, JULIE)
Oui ; d'ailleurs j'étais bien aise de vous revoir. (Acte 1, scène 6, LA MARQUISE)
Je voulais vous demander si vous iriez encore bientôt à la campagne ? (Acte 1, scène 6, LA MARQUISE)
Eh bien, Comte, pourquoi donc ne prenez-vous pas de glaces ? (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
je vous réponds bien que non. (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
Eh bien, accablez-moi, Madame, je le mérite ; mais si vous saviez.... (Acte 1, scène 8, LE COMTE)
Ah, Madame, je ne le saurais croire je connais trop la délicatesse de votre âme, et cette dernière action m'a bien prouvé que vous ne vouliez point ma perte. (Acte 1, scène 13, LE COMTE)

LE SUISSE DE PORTE ET LE PORTRAIT. (1771)

Combien de fois ne me suis-je pas présenté à sa porte, que de lettres que m'a renvoyé sans vouloir les lire ! (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Entre dans ce Cabinet, aussi bien j'entends quelqu'un et c'est peut être-elle. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Baron, je vous suis obligé d'avoir bien voulu m'attendre ; j'achevais une lettre, et je crois que vous auriez été fâché que je me dérangeasse ; je compte assez sur votre amitié pour cela. (Acte 1, scène 3, LA MARQUISE)
Vous ne me paraissez pas trop bien aujourd'hui. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Je vous plains bien sincèrement ; en vérité il ne me paraît pas trop injuste que l'on ne soit pas tout-à-fait heureux, quand on fait le malheur des autres. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Non, Madame : vous n'avez pas voulu savoir tout ce qu'il en a souffert, il a bien expié son crime ; si vous aviez été témoin de son repentir, du délire où l'a plongé sa douleur ! (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Après la maladie qu'ils lui ont occasionnée, la convalescence bien loin d'avoir des charmes pour lui en lui rendant ses forces, faisait chaque jour renaître ses tourments. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Sonnez, ou bien je vais moi-même... (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Non, Madame, je ne suis plus le même, mes remords m'ont bien changé, mon coeur n'a jamais cessé de vous adorer ; au milieu de mon égarement je me fuis abhorré moi-même, les premiers reproches que j'ai éprouvés ce font les miens. (Acte 1, scène 6, LE COMTE)

LE VEUF (1783)

Tu sais bien qu'il a perdu sa femme ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR D'ERVIÈRE)
C'est donc bien long, quinze jours ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR D'ERVIÈRE)
Hé bien, ce pauvre Grand-Pré pleurera longtemps, lui. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR D'ERVIÈRE)
Je le sais bien ; voilà pourquoi tu as la complaisance de la pleurer avec lui ; mais il faut que tout cela finisse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR D'ORBEL)
Hé bien, veux-tu parier que je le fais rire ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR D'ORBEL)
D_Ervière le sait bien ; il la connaissait comme moi ; il passait sa vie avec elle. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE GRAND-PRÉ)
Et elle était vraie sa gaieté ; elle riait de l'âme ; ce n'était pas une grimace ; ce n'était pas que le rire lui seyait bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR D'ORBEL)
Ah, je le sais bien ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE GRAND-PRÉ)
Je me regarderais comme un lâche, si j'en avais la pensée ; d_Ervière le sait bien ; oui, mon cher d_Ervière, je veux que nous la pleurions toujours ensemble ; il n'y a plus d'autre douceur pour moi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE GRAND-PRÉ)
Tu fais bien ce que je veux dire, toi, d_Ervière ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR D'ORBEL)
Et celui qu'il chantait aussi Grand-Pré ; où il la contrefaisait si bien, que nous croyions que c'était elle. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR D'ORBEL)
Fort bien, fort bien ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR D'ORBEL)
Ah, d_Ervière le sait bien, si elle en a aimé un autre ; il est là pour le dire. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE GRAND-PRÉ)
Je n'ai pas d'autre projet, mes amis ; je puis bien vous en assurer. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE GRAND-PRÉ)
Je le crois bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR D'ORBEL)

LE MAÃŽTRE DE BALLETS (1771)

Je le sais bien. (Acte 1, scène 1, LA FRANCE)
Hé bien, je ne danserai pas demain, justement c'est Dimanche, j'irai à la campagne ; vous n'avez qu'à le leur dire. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DU PAS)
C'est que je viens vous prier de vouloir bien me dire ce que vous pensez de ma danse ; parce que je voudrais danser dans un Opéra. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Hé bien ; c'est danser de force, et je ne me chargerai point de vous faire dansez à l'Opéra, pas même parmi les figurants. / (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PAS)
Monsieur_le_Comte, je vous demande bien pardon ; mais c'est que si vous saviez comme je suis persécuté, ... on ne finirait jamais avec ces Messieurs-là, si on voulait les écouter. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PAS)
Je le crois bien. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Très bien, très bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PAS)
Je suis bien aise que vous soyez content. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Soutenez, fort bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PAS)
Je vous l'ai dit, fort bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PAS)
Monsieur_le_Comte, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PAS)

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LE PARI (1771)

Combien te coûte cet habit-là ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DELALANDE)
Oui, Monsieur, Dieu merci, cela va assez bien à présent. (Acte 1, scène 3, MADAME-MOKA)
Elle l'est bien encore. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEPRESSINS)
Hé bien, j'ai envie de le faire parler. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUVAL)
Tu seras bien fin, je le connais moi. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEPRESSINS)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELALANDE)
Oui, oui ; hé bien à présent, je vous dirai que je suis pour celui qui parie qu'il ne parlera pas. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEPRESSINS)
Il prend son café bien tard. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUVAL)
Monsieur , pour faire connaissance avec vous, je voudrais bien que vous me fissiez le plaisir de venir dîner avec moi. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DELALANDE)
Je crois que j'aurai bientôt tes dix louis. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUVAL)
Je serais bien aise de causer avec vous ; car vous avez bien de l'esprit. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DELAMARE)
Hé bien, a-t-il parlé ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DEPRESSINS)
Hé bien ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DUVAL)
Et bien j'irai aussi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DEPRESSINS)
Messieurs, je suis bien votre servante. (Acte 1, scène 5, MADAME-MOKA)

L'Ã‰TRANGER (1768)

Monsieur, je voudrais que vous vous trouvassiez bien chez moi, je vous ai tant d'obligation d'avoir bien voulu recevoir mon fils à Nuremberg, que je ne puis assez vous en marquer ma reconnaissance. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBREUIL Père)
Tiaple, je croyais à Nuremberg savoir bien la langue du français, je vois à présent que c'est bien autrement encore que je disais. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TROTBERG)
Vous parlez bien cependant. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBREUIL Père)
Il arrivera bientôt, il n'est qu'à trois lieues d'ici, il sait que vous devez venir, et je l'ai envoyé quérir. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBREUIL Père)
C'est très bien fait. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBREUIL Père)
Je suis fort obligé, je demande bien pardon. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TROTBERG)
J'ai écrit déjà plusieurs fois, et vous voyez bien que je ne ris pas. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TROTBERG)
Voilà du papier, de l'encre ; je reviendrai vous tenir compagnie bientôt. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBREUIL Père)
Je entend bien ; c'est comme nous disons un arbre de noix, arbre d'olive. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TROTBERG)
Tu entends bien, Lapierre ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBREUIL Père)
Ah ça, Monsieur, je vous laisse, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBREUIL Père)
Eh bien, oui. (Acte 1, scène 6, LAPIERRE)
Fort bien, fort bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR TROTBERG)
Eh bien, donne moi quoi ? (Acte 1, scène 8, MONSIEUR TROTBERG)
Je dis le ; mais faites marcher ici Monsieur Dubreuil, il dira si je dis pas bien. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR TROTBERG)
Eh bien, sortir, quand. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR TROTBERG)
Je suis bien content aussi, véritablement. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR TROTBERG)
Je comptais que vous n'arriveriez que demain, je vous demande bien pardon de n'avoir pas été ici à votre arrivée. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-DUBREUIL-Fils)
Vous voyez bien qu'il dit lui-même. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR TROTBERG)
Eh bien, je veux le. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR TROTBERG)
Monsieur, je vous demande bien pardon ; mais j'ai été obligé de sortir... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBREUIL Père)
Oui, je sais quand, vous voyez bien. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR TROTBERG)
Mais, Monsieur, je puis bien vous dire ; j'ai écrit ici. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR TROTBERG)
Mais j'ai dit bien, n'est-ce pas Monsieur Dubreuil ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR TROTBERG)
Eh bien, lisez-nous ce qu'il y a. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-DUBREUIL-Fils)

LE MARI ABSENT (1771)

Mais voilà le jour bien avancé, il n'y a guère de temps pour y penser ; si vous m'abandonnez, Monsieur le Bailli, je suis une femme perdue ! (Acte 1, scène 1, CATHERINE)
Il est vrai que ce serait bien mal à vous, après l'embarras où vous m'avez mis. (Acte 1, scène 1, CATHERINE)
Je vous dirais bien cela en Latin mais... (Acte 1, scène 1, LE BAILLI)
Sans nous entendre, vous verrez bien la mine qu'il fera. (Acte 1, scène 1, LE BAILLI)
Vous voyez bien, éloignez-vous. (Acte 1, scène 1, LE BAILLI)
Voilà une pensée qui ne m'était pas encore venue : je la mettrai bien à profit à l'avenir. (Acte 1, scène 2, LE BAILLI)
Hé bien, Gros-Jean, vous voilà donc enfin de retour ? (Acte 1, scène 3, LE BAILLI)
Fort bien, Gros- Jean, fort bien. (Acte 1, scène 3, LE BAILLI)
Votre voyage vous a-t-il valu bien de l'argent ? (Acte 1, scène 3, LE BAILLI)
Il devait m'en valoir ; mais j'ai mangé tout ce que j'avais porté ; encore bien heureux d'en avoir eu assez. (Acte 1, scène 3, GROS-JEAN)
Votre femme se porte très bien ; mais il y a bien des nouvelles depuis votre départ. (Acte 1, scène 3, LE BAILLI)
Je vous en réponds ; c'est un homme qui aime à faire le bien du paysan. (Acte 1, scène 3, LE BAILLI)
D'abord qu'on veut notre bien, Monsieur le Bailli, c'est raisonnable. (Acte 1, scène 3, GROS-JEAN)
Il sait bien cela, et pour qu'il y ait beaucoup d'enfants dans son village et qui se portent bien, voici ce qu'il a imaginé. (Acte 1, scène 3, LE BAILLI)
Écoutez bien. (Acte 1, scène 3, LE BAILLI)
Je suis bien malheureux de m'être en allé, j'aurions déjà gagné cent écus au moins. (Acte 1, scène 3, GROS-JEAN)
Gardez-vous en bien , Monsieur le Bailli, je ne sais ce que je dis. (Acte 1, scène 3, GROS-JEAN)
Ah, pardi, je vous en réponds, je vois bien que sans elle, je ne les aurais jamais eu. (Acte 1, scène 3, GROS-JEAN)
Cela va bien. (Acte 1, scène 4, LE BAILLI)
Hé bien, je suis grosse encore, si je va en avoir aussi deux, cela fera douze cents francs. (Acte 1, scène 4, CATHERINE)
Je vous le disais bien. (Acte 1, scène 4, LE BAILLI)
Pardi, c'est bien vrai. (Acte 1, scène 4, GROS-JEAN)
J'aurais été bien aise d'y aller. (Acte 1, scène 4, CATHERINE)
Et pardi, non, j'en aurions été bien fâché. (Acte 1, scène 4, GROS-JEAN)
Comment, c'est bien vrai ? (Acte 1, scène 4, CATHERINE)
Hé bien, allons boire à la santé d'un si bon Seigneur. (Acte 1, scène 4, GROS-JEAN)
Allons, venez donc ; car je vous aimons bien aussi, nous ; n'est-ce pas, Catherine ? (Acte 1, scène 4, GROS-JEAN)

L'AVOCAT CHANSONNIER. (1822)

Il est bien question de cela ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE LA BARRE)
Eh bien, savez-vous à présent ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE LA BARRE)
Oh, je trouverai bien. (Acte 1, scène 1, LA PIERRE)
Et ma perruque neuve à boucles en roses, vous savez bien ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE LA BARRE)
Eh bien, comment t'en va? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA MOTTE)
Fort bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA BARRE)
Et bien, il faut que tu refuses encore. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA BARRE)
C'est que je veux absolument te mener souper quelque part, où tu seras bien aise d'aller. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA BARRE)
Voyons ta montre : la mienne va bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA MOTTE)
Allons, je serai bientôt ici. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA MOTTE)
Eh bien ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE LA BARRE)
Il vous aime bien. (Acte 1, scène 3, LA PIERRE)
Que l'adorer est le vrai bien. v.5 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA BARRE)
Bien, bien ! v.10 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA BARRE)
Oui, fort bien, Madame Dourci, vous vous repentirez de votre dédain. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA BARRE)
Celui-ci : Il n'est qu'un pas du mal au bien. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA BARRE)
Mais, Monsieur, vous n'en croyez rien ; il faut pourtant bien que vous le croyez, puisque c'est vous qui me défendrez. (Acte 1, scène 6, MADAME POURSUIT)
Mais, monsieur, vous savez bien qne je suis veuve ? (Acte 1, scène 6, MADAME POURSUIT)
Mais vraiment, vous avez bien raison. (Acte 1, scène 6, MADAME POURSUIT)
Cela est pourtant bien vrai, Monsieur. (Acte 1, scène 6, MADAME POURSUIT)
Eh bien, allons-nous ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA MOTTE)
Oui ; mais j'ai fait bien des réflexions sur son café et sur elle-même. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA BARRE)
Que l'adorer est le vrai bien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE LA BARRE)

LE BAVARD (1783)

Hé bien ? (Acte 1, scène 2, LE COMMANDEUR)
Hé bien ? (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Madame la Comtesse, si j'étais de vous, je prendrais des eaux ; car tout cela, vous entendez bien... (Acte 1, scène 2, LE COMMANDEUR)
Je vous disais bien. (Acte 1, scène 2, LE COMMANDEUR)
Cela est bien honnête à vous, de vous être souvenu de moi. (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Ce malheureux-là est couvert de blessures ; mais malgré cela, c'est un homme ardent, vif et bien en état de faire le service dans une place. (Acte 1, scène 2, LE COMMANDEUR)
Hé bien, vous me l'amènerez un de ces jours. (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Commandeur, vous êtes bien pressant. (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Je serai bien aise de voir si elle me reconnaîtra ; il y a bien trente ans que je l'ai vue pour la première fois. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Vous voulez bien vous mêler de ce qui me regarde ; il serait ingrat à moi de me taire, et de ne pas vous en marquer ma reconnaissance ; mais... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Hé bien, celle-ci est de la plus mauvaise santé du monde. (Acte 1, scène 3, LE COMMANDEUR)
Mais il faut bien que je lui explique... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Oui ; mais il faut bien... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Oui, j'ai eu tort, j'en conviens ; pour en revenir au siège de Namur, j'y fus blessé à cette main-ci d'un éclat de bombe ; mais je ne parle pas de cela dans mon mémoire ; mais une autre chose bien plus essentielle, que je n'y ai pas oublié, c'est que j'ai épousé une femme qui est fille d'un Major qui a été tué à Lepstat ; c'est une occasion de grâce, car il n'y a point de veuve à récompenser ; sa mère était morte plus d'un an avant. Je suis fâché qu'elle ne soit pas venue avec moi, Madame la Comtesse aurait été bien aise de la voir... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
L'aîné, qui a déjà cinq ans, non, six ans, oui, je disais bien, c'est cinq ans, fait déjà mieux l'exercice, que les miliciens que nous avons à Bouchain. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
C'est pour faire voir comme l'éducation militaire est préférable à tout ; moi, par exemple, qui dormais souvent à l'air chez mon père, non pas comme Monsieur_de_Turenne sur un canon ; mais dans la basse-cour sur une botte_de_paille, ou sur un sac_de_grain ; hé bien, je n'ai jamais été malade. Il y a de l'habitude à tout ; parce que... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Oh, je le sais très bien ; mais comme il faut que Madame connaisse celui pour qui elle veut bien s'intéresser ; je crois que je ne fais pas mal... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Aussi par timidité, parce que l'on n'aime pas à se vanter, j'ai eu la croix_de_Saint-Louis, deux ans plus tard que je ne devais l'avoir ; Monsieur_le_Commandeur le sait bien. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNI?RE)
C'est que les mémoires, on ne les lit pas, et quand quelqu'un veut bien parler pour vous, il faut du moins qu'il sache ce qu'il a à dire. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
J'avais manqué ma Compagnie comme cela ; je croyais qu'elle m'allait de droit ; j'attendais tranquillement ; c'est-à-dire, j'allais tous les jours ; parce qu'il faut bien... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNI?RE)
On l'avait accordé à celui qui avait enlevé un magasin en avant de Gottingen ; et c'était moi ; hé bien, je me taisais ; si je n'avais pas parlé pourtant, je ne l'aurais pas eue ; voilà pourquoi j'ai l'honneur de vous le dire. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
C'est très bien fait d'être modeste, Monsieur. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Monsieur, je ne me porte pas bien, et... (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je vous suis bien obligée ; mais mon mal redouble... (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Si Madame faisait bien, elle se coucherait ; le lit repose et délasse ; et puis nous lui tiendrions compagnie ; nous causerions avec elle ; cela distrait la douleur. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Pendant toutes mes blessures, je faisais venir le Conteur du Régiment, quand je ne pouvais pas dormir ; c'est une chose qui réussit très bien, parce que quand on est occupé d'un côté, il arrive que de l'autre on oublie... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE LA POTERNI?RE)
Hé bien, vous voyez que j'ai bien fait de parler moi-même. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)
Vous avez bien réussi. (Acte 1, scène 5, LE COMMANDEUR)
Oui ; elle est si bien finie, qu'elle ne se mêlera de rien du tout de ce qui vous regarde. (Acte 1, scène 5, LE COMMANDEUR)
Je vous souhaite bien le bonjour ; mais ne comptez plus sur moi. (Acte 1, scène 5, LE COMMANDEUR)
Ils seront bien étonnés à Bouchain, quand ils sauront tout cela, eux à qui j'ai dit... (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE LA POTERNIÉRE)

L'AVEUGLE AVARE (1781)

Il ne fait pas vilain, ce matin. Eh bien, on disait hier au soir qu'il pleuvrait. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SAVONEAU)
S'il avait fallu en donner une autre, j'aurais été bien embarrassé ; car je n'ai, ma foi, pas le sol. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SAVONEAU)
Eh bien, est-ce que tu n'es pas encore levée, vilaine paresseuse ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SAVONEAU)
Eh bien, ce n'est pas tant que six. (Acte 1, scène 2, JANNETON)
Je sais bien pourquoi tu as tant d'envie de dormir, et que tu ne me réponds pas. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SAVONEAU)
Veux-tu bien finir, et te lever ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SAVONEAU)
Eh bien, nous la ferons afficher. (Acte 1, scène 2, JANNETON)
Parle moi par la fenêtre, je verrai bien si tu es levée. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SAVONEAU)
On n'a pas eu besoin de me le dire, je l'ai entendu, et j'ai bien reconnu sa voix, (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SAVONEAU)
Eh bien, puisque vous le savez, vous ne savez pas tout ; car je vous dirai que je n'en aurai jamais d'autre pour mari. (Acte 1, scène 2, JANNETON)
Et pourquoi n'y consentiriez-vous pas ? Il a du bon bien. (Acte 1, scène 2, JANNETON)
Allons, je vois bien que vous voulez que je sois malheureuse. (Acte 1, scène 2, JANNETON)
Je pense que j'arrive bientôt à la place que j'envie depuis longtemps. (Acte 1, scène 3, TATONET)
Dix, vingt, hum, hum ; les voilà bien tous. (Acte 1, scène 3, TATONET)
J'ai bien imaginé de les mettre dans mon chapeau ; parce que si l'on fouille dans ma poche, on n'y trouvera rien. (Acte 1, scène 3, TATONET)
Je sens que m'y voilà bientôt. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR SAVONEAU)
Allons, hou ; veux-tu bien t'en aller ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR SAVONEAU)
Je te ferai bien me lâcher. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR SAVONEAU)
Tu as bien entendu, fais ce que je t'ai dit. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR SAVONEAU)
Mais croyez-moi, je ne suis pas aveugle, je le vois bien. (Acte 1, scène 4, JANNETON)
Attendez donc, combien y en avait-il ? (Acte 1, scène 4, JANNETON)
Je vous y forcerai bien ; et je ne vous laisserai pas aller que je n'aie mes cent louis. (Acte 1, scène 4, TATONET)
Voulez-vous bien me laisser ; je vais crier au guet. (Acte 1, scène 4, JANNETON)
Il le sait bien. (Acte 1, scène 4, JANNETON)
Voilà bien du bruit pour un chapeau de perdu. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR SAVONEAU)
Monsieur le Commissaire, je vous demande bien pardon ; mais, au nom de votre bienheureux patron, ce grand ami de Dieu, ne me faites pas ôter la permission de demander l'aumône. (Acte 1, scène 4, TATONET)
Eh bien, je prendrai aussi le chapeau, Monsieur_le_Commissaire. (Acte 1, scène 4, TATONET)
Il le faut bien, puisque je ne peux pas les reprendre sans être pendu. (Acte 1, scène 4, TATONET)
Monsieur, je vous suis bien obligée. (Acte 1, scène 4, JANNETON)
Maudite soit l'envie qui m'a pris d'avoir cette chienne de place ; je réponds bien de ne jamais passer par cette sorcière de rue tant que je vivrai. (Acte 1, scène 4, TATONET)

SORTIE DE LA COMÃ‰DIE FRANÃ‡AISE (1771)

Hé bien, je vous attends : est-ce que vous n'avez pas le Chevalier ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE MIRVILLE)
Je ne vois rien, je vous demande bien pardon. (Acte 1, scène 1, LE DUC)
Je regrette bien celui où mais je ne veux pas perdre cet instant ; je ne vous quitterai point, je vous en réponds, que vous ne partiez d'ici. (Acte 1, scène 1, LE DUC)
C'est bien honnête, cela. (Acte 1, scène 1, MADAME DE MIRVILLE)
Il faut bien que nous causions un peu. (Acte 1, scène 1, LE DUC)
Mesdames, je vois bien que je ne puis vous être bon à rien, j'en suis outre, furieux ! (Acte 1, scène 1, LE DUC)
Justement je soupe chez moi, Madame de Vermont y sera, cela serait bien honnête à vous, si vous veniez. (Acte 1, scène 1, MADAME DE MIRVILLE)
Hé bien, Madame, comment trouvez-vous cela, n'avez-vous pas crû qu'il allait rester avec nous ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE MIRVILLE)
C'est que vous avez bien vu l'homme à qui j'ai parlé et qui m'a entraîné ?... (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Hé bien ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERMONT)
Mais d'honneur, vous sentez bien que sans cela... (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Vous êtes bienheureux que je sois la première à vous justifier. (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERMONT)
Cela me paraît bien joli ! (Acte 1, scène 1, MADAME DE MIRVILLE)
Peste, je le crois bien ; c'est, ma foi, ce que nous avons de mieux. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Je sais bien pourquoi ; c'est qu'il y avait aux secondes loges, quelqu'un à qui il s'intéresse. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Je ne vois pas bien. (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERMONT)
Oui, on me trouve assez bien mise. (Acte 1, scène 1, MADAME DE MIRVILLE)
Il est vrai que depuis quelques jours, je me porte assez bien. (Acte 1, scène 1, MADAME DE MIRVILLE)
Vous êtes bien mal là. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Ma foi, on me l'a assuré, et des gens bien instruits... (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Allons, Mesdames, voulez-vous bien venir ? (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Veux-tu bien te taire. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Hé bien, cela n'a pas mal réussi, comme tu vois. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
N'est-il pas bien tard ? (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Hé bien, montons dans le tien, le mien viendra comme il voudra. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
Je le veux bien ; allons, passe. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)

LES PLEUREURS D'HOMÃˆRE (1768)

J'ai bien du chagrin. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DELEPINE)
Vous parlez bien pourtant. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-DUCHESNE)
Un homme qu'on doit être bien fâché de savoir mort. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DELEPINE)
Sa mémoire vit bien encore. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DESGRAIS)
Ah c'est bien vrai ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DELEPINE)
Ils viennent bien à propos, j'en ai grand besoin. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR-DUCHESNE)
Combien me vendrez-vous ce mouchoir-là ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DUCHESNE)
Combien en voulez-vous donner ? (Acte 1, scène 3, MADAME RAMAS)
Hé bien, voilà trois livres ou rien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR-DUCHESNE)

L'OFFICIER DU GOBELET (1771)

Tu es fort bien. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DU PARC)
J'en suis bien aise, pourquoi badinez-vous aussi ? (Acte 1, scène 1, MARIANNE)
Je le sais bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Elle t'en a prié, et si tu reviens ici quelquefois , tu feras bien-aise de la trouver. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PARC)
Soixante et quinze ; mais il se porte bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Il n'en manquait pas des maladies de poitrine ; c'était bien le plus habile homme du monde. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PARC)
Il n'y a que dans le cas où j'aurais la survivance de mon père, qu'il le voudrait bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Il a encore écrit pour cette survivance à bien des officiers-généraux de sa connaissance sous lesquels il avait servi, quelques-uns ne lui ont pas répondu et les autres lui ont mandé qu'on n'accordait plus de survivances, et comme il y a un de ses camarades qui en a obtenu une pour son fils, j'ai pris le parti de venir ici ce n'a pas été sans être désespéré de me séparer de Mademoiselle Adélaïde. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Ah ça, tu viendras bientôt ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU PARC)
Pardi, il vous faut bien des choses toujours. (Acte 1, scène 4, MARIANNE)
Il faudra bien que je me souvienne de ce qui était dans ce Mémoire. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Je n'entends pas bien. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Il faudra bien que je le retrouve. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Monsieur, j'ai bien l'honneur de vous saluer. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Monsieur, je vous demande bien pardon de paraître comme cela devant vous ; mais c'est que c'est mon usage quand je suis rentré chez moi, de me mettre en robe de chambre ; parce que vous entendez bien ; cela fait que.., je dis... enfin l'on est plus à son aise. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Oh oui, quand on vient dans ce pays-ci... je m'en doutais bien... parce que... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Cela est bien difficile, ce n'est pas que je veuille faire ce que vous voudriez ; car moi... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Je le disais bien ; quand je vois qu'on a comme cela, la croix je dis, il faut que ce soit quelqu'un qui serve ou qui a servi ; car nous avons une étape à Nogent. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Oui, Monsieur, je me nomme Plaveau, et je suis officier aussi, moi ; mais pas de même que vous, je suis Officier de Justice, j'en fuis le bailli ; et j'ai voulu être encore officier autrement ; c'est à dire... avoir une charge... C'est bien une charge que celle de bailli ; mais je veux dire une charge plus honorable quand je dis plus honorable ; c'est-à-dire une charge chez le Roi. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Ah, c'est très bien, Monsieur : je vous souhaite le bonsoir. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Monsieur, vous avez bien de la bonté ; mais pour en revenir à ce que nous disions ; c'est une charge où il faut parler devant le Roi. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Je suis bien accoutumé à parler en public ; car j'ai été reçu avocat à Bourges et puis je juge tous les jours ; c'est-à-dire quand il y a des causes à mon bailliage, pour lors je parle ; mais parler devant le Roi, c'est bien différent, et il faut un peu s'étudier pour cela. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
En ce cas-là, Monsieur, je vous demande bien pardon de vous avoir interrompu, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
C'est bien honnête à vous, Monsieur ; mais c'est demain que je commence et... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
J'en suis bien fâché ; mais... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
C'est fort bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Je trouve que c'est fort bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
À boire pour le Roi ; ce n'est pas tout-à-fait cela , je le sens bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Vous me flattez ; mais si vous m'aviez entendu à Nogent, vous verriez bien... tenez, voilà, je crois, comme je disais, à boire pour... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Je ne saurais retrouver ce ton-là ; mais d'ici à demain il faudra bien en venir à bout. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Sûrement, je vous demande bien pardon, mais... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
C'est juste, il faut que chacun fasse ses affaires, je suis bien aise d'avoir fait l'honneur de votre connaissance ; parce qu'on cause quelquefois. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Ah oui, j'oubliais... quand on a quelque chose comme cela dans la tête.... je vous remercie bien, Monsieur, je suis votre très humble serviteur. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Non, Monsieur, je vous prie de vouloir bien... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Je le tiens pour le coup, tenez, Monsieur, écoutez. À boire pour le Roi, non, ce n'est pas cela, je vous demande bien pardon. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Je vous souhaite bien le bonsoir. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE PLAVEAU)
Fort-bien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE SAINT-BRICE)
Il est sorti, j'en suis bien fâché, mais je ne veux pas oublier ce ton-là toujours. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE PLAVEAU)

LE CHIEN DE LA FOIRE (1783)

L'Abbé, ceci sent bien mauvais. (Acte 1, scène 1, MADAME DE GRAND-COUR)
Vous savez bien que vous avez pris le mien, tantôt. (Acte 1, scène 1, MADAME DE GRAND-COUR)
Madame êtes-vous bien ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE FERMANT)
Nous verrons ; Monsieur, commencerez-vous bientôt ? (Acte 1, scène 1, LE PRÉSIDENT)
Si Son_Éminence voulait bien ranger ses pieds. (Acte 1, scène 1, CADET)
À la Foire, vous verrez qu'il faut être bien scrupuleux. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Je crois que pour ce qu'il a à manger, cela doit être bientôt fait. (Acte 1, scène 1, LE PRÉSIDENT)
Monseigneur, il faut qu'il soit bien nourri, sans quoi il ne travaillerait pas. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Hé bien, amène-le donc. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Il a l'air bien triste, la pauvre bête. (Acte 1, scène 1, MADAME DE FERMANT)
À présent s'il y a quelqu'une de ces Dames ou de ces Messieurs, qui veulent bien avoir la bonté de penser une carte, cet animal l'apportera sur le moment. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Madame veut-elle bien penser une carte ? (Acte 1, scène 1, LE MA?TRE)
Allons, à présent, Briscambille, songe bien à ce que tu vas faire. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Les nombres, mon Général, c'est de deviner combien il y a de personnes dans la chambre, par exemple ; c'est un tour de raisonnement qui est fort joli pour un animal. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Hé bien, ce que nous sommes de personnes ici ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE GRAND-COUR)
Allons, Briscambille, prends bien garde à toi. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Si tu veux avoir à souper, il faut que tu me dise combien, il y a de personnes ici. (Acte 1, scène 1, LE MA?TRE)
Je te demande, Briscambille, combien nous sommes de monde dans cette chambre ? (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Vous voyez bien qu'il ne sait ce qu'il fait. (Acte 1, scène 1, LE PRÉSIDENT)
Hé bien, a-t-il deviné ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE GRAND-COUR)
Hé bien, allons-nous-en, voulez-vous, Madame ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE FERMANT)
Ce tour-ci encore, qu'il fait fort bien. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Cela sera bien tôt fait, n'est-ce pas, Monsieur ? (Acte 1, scène 1, L'ABBÉ)
Briscambille, regarde bien. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)
Fort bien, fort bien ; il prend du couleur de rose pour du noir. (Acte 1, scène 1, MADAME DE FERMANT)
Je suis bien aise que Monseigneur il soit content. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE)

LES SECONDES LOGES DE L'OPÃ‰RA, LE DIMANCHE. (1771)

Eh bien, Mesdames, comment avez-vous trouvé l'Opéra aujourd'hui ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MORANDAL)
Visage, toi-même ; hé, polisson ; je voudrais bien savoir pourquoi on laisse entrer ici des gens du parterre. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR RENARD)
En vérité, il nous a fait bien rire toujours pendant l'Opéra. (Acte 1, scène 1, MADAME MÉRIGON)
Je le crois bien ; c'est le métier des Singes. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MORANDAL)
Hé bien, mon chou, où étais-tu donc ? (Acte 1, scène 2, MADAME MÉRIGON)
Ah, c'est bien honnête cela, Monsieur Morandal, il ne nous a pas dit de ces choses là, par exemple. (Acte 1, scène 2, MADAME MÉRIGON)
Oh, ces dames savent bien que ce n'est pas mon défaut. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR RENARD)
Comment, nous le savons bien ? (Acte 1, scène 2, MADAME MÉRIGON)
Et tenez, Monsieur Mérigon, vous savez bien ; c'est celui à qui nous avons fait ce gros envoi, pour un grand mariage... (Acte 1, scène 2, MADAME GOURSAIN)
Il ne m'a pas parlé ; mais il m'a fait l'honneur de me saluer bien poliment. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GOURSAIN)
Il me demande quelquefois : eh bien, Monsieur Morandal , comment avez-vous trouvé l'Opéra, Dimanche ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR MORANDAL)
C'est bien honnête à lui, et il nous fait bien de l'honneur. (Acte 1, scène 3, MADAME MÉRIGON)
Ah, que c'est bien dit ! (Acte 1, scène 3, MADAME MÉRIGON)
C'est que je serais bien aise que Monsieur Morandal, qui passe sa vie avec des gens de condition, l'entendît chanter. Vous verriez comme c'est une belle voix ; il fait toujours trembler toutes les vitres de la maison, quand il chante. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR MÉRIGON)
Vous avez bien raison. (Acte 1, scène 3, MADAME MÉRIGON)
Il faut bien qu'il aille mettre le couvert, vous ne pensez à rien, vous autres. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GOURSAIN)
Je crois que sans nous ils feraient bien embarrassés. (Acte 1, scène 3, MADAME MÉRIGON)
Ne craignez rien, allez, allez, ce que je tiens, je le tiens bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR RENARD)

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LE DIAMANT (1771)

Et combien, voulez-vous le vendre ? (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Six mille francs : combien cela fait-il de louis ? (Acte 1, scène 2, MADAME DE GERCOURT)
Non, vraiment, et vous trouveriez bien à vous en défaire à ce prix-là. (Acte 1, scène 2, HENRIETTE)
Eh bien, Madame, il faut l'acheter. (Acte 1, scène 2, HENRIETTE)
Oui ; c'est bien à lui qu'il faut s'adresser. (Acte 1, scène 2, MADAME DE GERCOURT)
Madame, il me vient une idée ; Monsieur_le_Comte de Tourmont vous prêterait bien six mille francs, peut-être ? (Acte 1, scène 2, HENRIETTE)
Henriette, tu as bien de l'esprit, au moins. (Acte 1, scène 2, MADAME DE GERCOURT)
Oui, c'est fort bien. (Acte 1, scène 2, MADAME DE GERCOURT)
Mais qu'avez-vous, vous me paraissez bien abattue ? (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Vous seriez bien fâchée que je le crusse ; tant je vous suis indifférent. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Eh bien, pourquoi donc laisser entrer cet homme-là ? (Acte 1, scène 4, MADAME DE GERCOURT)
Combien veux-tu le vendre ? (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Eh bien, je tonne à Matame, pour six mille francs. (Acte 1, scène 4, IKAËL)
Monsieur Comte , Matame, Matemoiselle, je suis bien pour vous servir. (Acte 1, scène 4, IKAËL)
Oui, Madame, et je suis bien aise que vous l'ayez acheté. (Acte 1, scène 5, HENRIETTE)
Mon mari connaît tous mes diamants, et il sait bien qu'il ne me donne pas assez pour que je puisse acheter quelque chose de ce prix-là. (Acte 1, scène 5, MADAME DE GERCOURT)
Ikaël, écoute bien ce que je te vas dire. (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
Tiens, Henriette te mènera chez lui, ou bien où il fera. (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
Hé bien, je m'en vais. (Acte 1, scène 6, MADAME DE GERCOURT)
Oui, je crois que c'est bien là ce qui l'occupe. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE GERCOURT)
C'est bien là une écritoire de femmes ! (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE GERCOURT)
C'est bien nécessaire que des Commis aillent à la Comédie ; mais je sais bien pourquoi ; c'est que cette femme-là n'a jamais le sol et qu'elle se fait avancer ses quartiers par le caissier. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE GERCOURT)
C'est bien vrai, Monsieur, qu'elle n'a pas d'argent ; si elle en avait ici, je lui aurais fait faire aujourd'hui un bon marché ; mais je n'ai pas voulu seulement lui en parler. (Acte 1, scène 7, HENRIETTE)
Vous avez bien fait, et vous devriez, si vous lui êtes attaché, chasser tous ces petits marchands qui viennent sans cesse et qui font une source de ruine pour les femmes. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DE GERCOURT)
Mais, Monsieur, pour Madame, c'est bientôt sa fête. (Acte 1, scène 8, HENRIETTE)
Je vois bien. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE GERCOURT)
Ma fille sera présentée et il pourrait même arriver, s'il mourrait quelques parents... vous entendez bien... qu'elle aurait le Tabouret. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
Nous aurons, que nous marierons bien notre fille. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
Enfin, vous êtes bien content. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE GERCOURT)
Vous voyez bien ? (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
Je suis bien aise que vous l'approuviez. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
Oui, vraiment, et très bien même. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
Je vous dis que je m'y connais très bien. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
Devinez combien il m'a coûté ; c'est un hasard. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE GERCOURT)
Pardi, vous devriez bien me le céder ; c'est un hasard unique. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
Hé bien, écoutez, arrangeons-nous. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE GERCOURT)
Eh bien, vous lui donnez ce diamant ? (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE MIREVAULT)
C'est bien honnête à vous. (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Mais, point du tout, il semble à vous entendre, que je ne vous aime pas ; vous savez bien le contraire. (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
C'est bien répondre à tout ce que je vous dis de tendre. (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
C'est bien fait à eux ; c'est ma belle-soeur qui aura fait ce mariage-là ; car c'est la plus ridicule créature avec sa vanité... (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Pour cela vous dites que vous venez me chercher et vous êtes bien peu occupé de moi : comment voulez-vous qu'on cause avec vous, pendant que vous écrivez ? (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Quoi, vous auriez acheté quelque chose pour moi ; je vous reconnais bien-là ; il y a longtemps que vous ne m'aviez rien donné, et vous vous en êtes souvenu : qu'est-ce que c'est ? (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Hé bien, où est-il ? (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Voici bien le meilleur, mon frère l'a trouvé charmant, il en a eu envie. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE GERCOURT)
Vous avez bien su tout le plaisir que vous feriez. (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Hé bien ? (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Hé bien, vous lui avec donné ? (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Voilà bien comme sont les femmes, elles n'entendent rien aux affaires. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE GERCOURT)
Je songe que vous ne savez ce que c'est de rien faire qui puisse me faire plaisir, non, Monsieur, jamais ; j'étais bien sotte de l'imaginer. (Acte 1, scène 10, MADAME DE GERCOURT)
Eh bien, Madame, cela a-t-il bien réussi ? (Acte 1, scène 11, LE COMTE)
Oui, Monsieur, très bien. (Acte 1, scène 11, MADAME DE GERCOURT)
Je suis bien loin de le penser, et je vous ai toujours trouvé supérieure en tout à tout ce que je connais. (Acte 1, scène 11, LE COMTE)

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LES DEUX CHAPEAUX (1822)

J'en suis bien fâchée ; mais cela ne sera pas autrement. (Acte 1, scène 2, MADAME DE BRÉCOURT)
Je le vois bien. - (Acte 1, scène 2, MADAME DE BRÉCOURT)
Eh bien, madame, vous devez être assez raisonnable pour vous déterminer à ne plus voir le Marquis. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE BRÉCOURT)
Est-il bien possible ? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Cela pourrait bien être. (Acte 1, scène 5, MADAME DE BRÉCOURT)
Vous êtes bien heureux qu'il ne se soit pas endormi ; car quelquefois il vient chez moi pour me faire cette saveur-là. (Acte 1, scène 6, MADAME DE BRÉCOURT)
Eh bien, je vous demande pardon. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Eh bien, oui ; je dirai que ma soeur a envoyé me chercher. (Acte 1, scène 7, MADAME DE BRÉCOURT)
Eh bien, Monsieur, cherchez si vous ne m'en croyez pas. (Acte 1, scène 8, MADAME DE BRÉCOURT)
Eh bien, s'il est meilleur que le vôtre, vous n'avez pas perdu au change ! (Acte 1, scène 8, MADAME DE BRÉCOURT)
Vous le prenez sur ce ton-là, Madame ; eh bien, nous nous séparerons. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE BRÉCOURT)

LE LIÃˆVRE (1768)

Il faut bien être utile au public, tant qu'on le peut. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBUT)
Et vous vous tuez presque toujours pour rien ; à votre place je ne travaillerais que pour ceux qui me payeraient bien. (Acte 1, scène 2, DAME JAQUELINE)
On n'est jamais dupe en faisant le bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBUT)
Mais j'ai assez de bien pour moi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBUT)
Je sais bien qu'on dit cela ; mais il ne faut pas refuser non plus ce qu'elle nous envoyé , il ne faut pas jeter à ses pieds ce qu'on tient dans ses mains. (Acte 1, scène 2, DAME JAQUELINE)
Hé bien, je vous le promets. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBUT)
Je crains bien que ce ne soir à beau prêcher qui n'a coeur de bien faire. (Acte 1, scène 2, DAME JAQUELINE)
Revenez bientôt et n'allez pas vous enrhumer toujours. (Acte 1, scène 2, DAME JAQUELINE)
Vous vous portez bien ? (Acte 1, scène 4, GROS-PIERRE)
Oui, assez bien, comme cela, tous les ans douze mois, comme on dit. (Acte 1, scène 4, DAME JAQUELINE)
Eh bien, dites-moi un peu ; est ce que Monsieur l'Avocat n'est pas ici ? (Acte 1, scène 4, GROS-PIERRE)
Il est allé faire un tour, il reviendra bientôt, attendez-le. (Acte 1, scène 4, Dame-JAQUELINE)
Pardi, il faut bien que je l'attende. (Acte 1, scène 4, GROS-PIERRE)
Oh, c'est bien vrai. (Acte 1, scène 4, GROS-PIERRE)
Il les aime bien les lièvres, Monsieur l'Avocat. (Acte 1, scène 4, DAME JAQUELINE)
Avouez que vous mangeriez bien un bon civet de lièvre ? (Acte 1, scène 4, GROS-PIERRE)
Oui, je l'aimerais bien. (Acte 1, scène 4, DAME JAQUELINE)
Vous l'aimeriez bien ? (Acte 1, scène 4, GROS-PIERRE)
Non , mais je veux en faire un à la veuve Mignot ; tu sais bien qu'alle a tun pré tout près du nôtre. (Acte 1, scène 6, GROS-PIERRE)
Je le sais bien ; mais si Monsieur l'Avocat me le conseille. (Acte 1, scène 6, GROS-PIERRE)
C'est vrai ça ; mais il ne faut pas prendre le bien de son voisin. (Acte 1, scène 6, VINCENT)
Hé ben, est-ce qu'ils ne pouvons pas vous faire avoir le bien que vous voulez ? (Acte 1, scène 6, GROS-PIERRE)
Eh bien, mon ami, tu n'as qu'à dire. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DUBUT)
Tu sais bien que j'aime à te faire plaisir. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DUBUT)
Mais il n'y a qu'à mesurer le terrain, et l'on verra bien si vous y avez touché. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DUBUT)
J'entends bien cela. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DUBUT)
Mais, Gros-Pierre, cela e'est pas bien de vouloir avoir comme cela l'héritage de son voisin. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DUBUT)
Je savons bien qu'on dira cela ; mais si la Justice me le donne, qu'est-ce qu'il y aura à dire ? (Acte 1, scène 8, GROS-PIERRE)
Hé bien, si la veuve Mignot perd, c'est tout ce que je veux. (Acte 1, scène 8, GROS-PIERRE)
je dirai qui vous n'avez pas bien embrouillé l'affaire comme je le voulais parce que je suis sûr qu'on pourrait me faire avoir ce pré-là. (Acte 1, scène 8, GROS-PIERRE)
Jusqu'à présent ne t'ai-je pas bien conduit dans tes affaires ? (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DUBUT)
Eh bien, de quoi te plains-tu ? (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DUBUT)
Porte-toi bien. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DUBUT)
Je vous baille bien le bonjour. (Acte 1, scène 8, GROS-PIERRE)
Eh bien, Monsieur l'Avocat, vous avez vu Gros-Pierre ? (Acte 1, scène 9, DAME JAQUELINE)
Tu sais bien que Gros-Pierre... (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DUBUT)
Je le crois bien, et puis ce coquin-là se moque de vous après cela. (Acte 1, scène 9, DAME JAQUELINE)
Fort bien, allez , allez le chercher. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DUBUT)
Que tu pourrais bien... (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DUBUT)
Non, Monsieur l'Avocat, je suis bien sûr qu'il n'y en a jamais eu parce que le tout appartenait au même maître ; c'est pourquoi je pourrions demander ce qui est à la veuve Mignot, mon pré étant plus grand que le sien. (Acte 1, scène 11, GROS-PIERRE)
C'est vrai, cela ; vous êtes un bien habile homme. (Acte 1, scène 11, GROS-PIERRE)
Vincent, je t'avais bien dit que ma cause était bonne, tu n'entends rien aux affaires, toi. (Acte 1, scène 11, GROS-PIERRE)
Eh bien, je ne le crois pas encore. (Acte 1, scène 11, VINCENT)
Tu es bien obstiné ! (Acte 1, scène 11, GROS-PIERRE)
Eh bien, c'est le premier que je vous ai donné qui était le bon et non pas le second. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DUBUT)
Je te l'avais bien dit, Gros-Pierre. (Acte 1, scène 11, VINCENT)
Eh bien, c'est vrai, Gros-Pierre. (Acte 1, scène 11, DAME JAQUELINE)
Moi, j'en suis bien aise, parce que tu n'as pas voulu me croire. (Acte 1, scène 11, VINCENT)
Vous voyez bien que j'avais raison, Monsieur l'Avocat. (Acte 1, scène 11, DAME JAQUELINE)

LES FAUX INDIFFÃ‰RENTS (1771)

Madame me paraît bien inquiète, bien agitée. (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Hé bien, épousez-le, il changera bientôt. (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Je vois bien que tu ne me comprends pas ; car enfin, qu'ai-je à reprocher au Chevalier ? (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Hé bien, Madame, ne le voyez pas ; mais écrivez-lui. (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Hé bien, que fait la Comtesse ? (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Il le faut bien... (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Je perds bien plus que vous ; puisque rien ne pourra jamais me tenir lieu d'un amour qui m'était aussi précieux. » (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Hé bien, comme il lui plaira, je lui ai écrit aussi, donnez-lui cela. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Ai-je bien lu ! (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)

LA VESTE BRODÃ‰E. (1783)

Les Tuileries n'ont jamais été comme aujourd'hui ; mille gens de connaissance, qui formaient un spectacle que je n'ai jamais vu, ou bien peu ; et dans l'instant tout est anéanti par une pluie qui est venue, je ne sais d'où. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Je m'en aperçois bien ; mais plaisanterie à part... (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Tout, c'est bientôt dit ; mais quoi encore ? (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Après ; il vous en reste encore beaucoup ; hé bien ? (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Hé bien, Monsieur, si vous le voulez, je vais vous la montrer ; mais je ne vous reverrai de ma vie. (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
C'est un moyen bien sûr de m'en ôter le désir, mais il ne saurait me tranquilliser ; non Madame, mon repos ne vous intéresse plus ; et je n'avais que trop de raison de craindre... (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Hé bien, Monsieur, pensez, dites ce qu'il vous plaira ; puisque ces idées vous plaisent autant, remplissez-vous en ; je ne me donnerai pas la peine de les détruire ; et si je n'ai pas le don de vous persuader, au moins je ne serai plus tourmentée. (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
Vous voyez bien que le sujet de la querelle vous occupe encore plus que le désir de l'apaiser. (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Vous ne l'aimez pas, vous, Mademoiselle ; ou bien, vous le trouvez charmant, parce qu'il vous embrasse ; je n'aime pas cela ; je vous en avertis : comme si on s'en souciait. (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- En vérité, je suis bien lasse de tout cela. (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- Si j'entre là-dedans, je serai sûrement querellée ; si je n'y entre pas, elle dira que je la sais dans le chagrin, la douleur, et que je l'abandonne ; que je lui dis toute la journée que je lui suis bien attachée, et que je ne lui prouve jamais. (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
Je ne vous dirai pas bien. (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
Hé bien ? (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
Monsieur_le_Comte, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Est-elle toujours bien en colère contre moi ? (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
Vous avez l'air bien occupé aujourd'hui. (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Oui, vous vous jetez dans les grandes passions, vous ; et cela vous réussit bien ; pour moi, qui suis malheureux, toujours mal traité ; ma foi j'y ai renoncé. (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Hé bien, Monsieur, êtes-vous toujours aussi extravagant ? (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
Hé bien, Madame, cette marque précieuse de vos bontés ; cet ouvrage de vos mains, que je désirais tant d'avoir... (Acte 1, scène 8, LE COMTE)

LA MÃ‰DAILLE D'OTHON (1771)

Ah, Monsieur Deverberie, enfin, je vous trouve ; j'avais bien peur de vous manquer. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DELAMERCI)
Je vous dis que je vous suis bien obligé. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DELAMERCI)
Je suis bien-aise que vous preniez de mon chocolat, parce que vous vous y connaissez bien, et que vous me direz ce que vous en penserez. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEVERBERIE)
Volontiers ; mais c'est que j'étais bien-aise d'être sûr avant, d'avoir votre avis sur mon chocolat. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEVERBERIE)
Il doit venir ici cette après-dînée ; c'est lui qui m'a procuré le cacao, il faudra bien qu'il en prenne aussi du chocolat. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEVERBERIE)
Vous n'avez que votre chocolat dans la tête ; mais puisque l'Abbé vient ici, il faut bien que je l'attende. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELAMERCI)
Eh bien ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DEVERBERIE)
Eh bien, si l'Abbé avait une certaine médaille, qui me manque, je serais le plus heureux homme du monde. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELAMERCI)
On m'a dit qu'il l'avait, et vous sentez bien que s'il voulait me la céder... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELAMERCI)
Je savais bien moi qu'il viendrait. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DEVERBERIE)
Il est un peu étourdi ; mais il fait très bien le chocolat. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DEVERBERIE)
Une pièce qui me serait bien précieuse, c'est une Médaille_d_Othon, et l'on dit que vous en avez une. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DELAMERCI)
Hé bien, à votre retour. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Je l'aurais bien si j'avais le temps, chargez-vous de l'acheter. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DELAMERCI)
Combien en veut-on ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DELAMERCI)
Eh bien, je m'en vais vous les donner. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DELAMERCI)
Je comprends bien. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Hé bien ! (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DELAMERCI)
Vous êtes bien pressant. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Il faut bien y consentir. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Depuis ce temps-là, je l'ai toujours dans le corps, ainsi vous voyez bien que je ne peux pas vous la montrer ; elle ne me fait point de mal. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Hé bien ! (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DEVERBERIE)
Non, au contraire : ainsi vous voyez bien que j'avais mes raisons. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Allons, je le veux bien ; ne perdons pas de temps. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DELAMERCI)

L'AVOCAT CONSULTANT. (1771)

Parbleu, je te plains d'être entre ses mains, car il ne finit rien ; je suis bien fâché de l'avoir pour Avocat. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE CACHANT)
Je sais bien où il va ; mais ne t'embarrasse pas ; je ne crois pas qu'il y retourne davantage. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE SAINT-HILAIRE)
Monsieur, vous me faites bien de l'honneur, asseyez-vous donc, s'il vous plaît. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GALAND)
Monsieur, je n'ai jamais eu de procès de ma vie, et je voudrais bien n'en pas avoir. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HILAIRE)
Je le sais bien ; mais je ne peux pas absolument m'en dispenser, et je viens vous consulter sur le choix de ces deux choses-là. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HILAIRE)
Oui, Monsieur, très bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GALAND)
Je trouve bien que de le faire sauter par les fenêtres serait plus court ; mais il pourrait en mourir, et pourvu qu'il n'y revienne plus, c'est tout ce qu'il me faut ; ainsi les coups de bâton pourraient peut-être lui suffire. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HILAIRE)
Il faut bien que je vous paye votre consultation. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HILAIRE)

L'ABBÃ‰ DE PLÃ‚TRE (1781)

Nous avons bien fait de l'enterrer cette nuit dans le petit bois, afin qu'on ne le trouve pas ailleurs. (Acte 1, scène , LABRIE)
Là, fort bien ! (Acte 1, scène , LABRIE)
Ah çà, Monsieur, combien comptez-vous rester ici de temps en statue ? (Acte 1, scène , LABRIE)
Eh bien, où est-il donc ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LEURMONT)
Eh bien, où est donc mon Abbé ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LEURMONT)
Oui ; c'est une chose bien rare ! (Acte 1, scène 2, LAURENT)
Je sais bien que tu n'aimes pas mon treillageur ; mais c'est un habile homme. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LEURMONT)
Eh bien , où vas-tu ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LEURMONT)
Sûrement une niche fera bien au-dessus de mon Abbé : oui, mon cher Abbé, vous serez à couvert. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LEURMONT)
Celle-là sera bien véritable, par exemple. (Acte 1, scène 3, LABRIE)
Eh bien ! (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE LEURMONT)
Je parierais bien que non, que Mademoiselle ne l'a pas vu comme vous. (Acte 1, scène 7, LAURENT)
Je suis bien éloigné de vouloir manquer au respect que tout l'amour que j'ai pour vous m'inspire ! (Acte 1, scène , MONSIEUR DE SAINT-IVAL)
Eh bien, je ne le trouve nulle_part, ce Monsieur de Leurmont. (Acte 1, scène , MONSIEUR L'ÉCHALAS)
Je la lisais bien ce matin et ce soir.... (Acte 1, scène , MONSIEUR L'ÉCHALAS)
Il est bien honnête. (Acte 1, scène , MONSIEUR DE SAINT-IVAL)
Pour le coup, c'est l'Abbé lui-même ; je l'ai bien vu ; je n'en puis plus douter. (Acte 1, scène , MONSIEUR L'ÉCHALAS)
Eh bien, Monsieur l'Échalas, que venez-vous donc faire ici ? (Acte 1, scène 10, LABRIE)
Eh bien, sauvez-vous. (Acte 1, scène 10, LABRIE)
Fort bien, fort bien. (Acte 1, scène 10, LABRIE)
Monsieur, il est question de choses bien plus sérieuses ! (Acte 1, scène 11, LABRIE)
Mais tu sais bien que cela, n'est pas vrai. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE SAINT-IVAL)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Je vous trouve l'air bien sérieux. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE LEURMONT)
Mon ami, on est quelquefois bien à plaindre d'avoir des enfans ! (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Eh bien, quoi ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE LEURMONT)
Eh bien, qu'a-t-on fait ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE LEURMONT)
Eh bien, vous ne répondez pas ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Eh bien, je suis certain que tout ce qu'on vous a dit n'est pas vrai. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE LEURMONT)
Cependant, c'est le Commandant de la Maréchaussée, qui est de mes amis, qui m'a conseillé de faire sauver mon fils : vous voyez bien qu'il croit l'affaire sérieuse. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Eh bien, pour lors, donnerez-vous toujours votre fille à mon fils ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Vous voyez bien, quand la chose vous touche de près, que vous n'êtes plus si ferme. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Voyez comme il est bien fait ! (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE LEURMONT)
Vous avez bien raison ; c'en est une, et dont je ne suis que trop puni ! (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-IVAL)
Je te réponds bien que non , et je ferai bien voir à ton pere que je suis ferme : je lui avois promis de te donner Agathe en mariage, et je te la donnerai. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE LEURMONT)
Ils seront bien attrapés ! (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE LEURMONT)
Eh bien, Monsieur le Commissaire, je l'ai trouvé ici tantôt, moi. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR L'ÉCHALAS)
Rien n'est plus vrai, et je ne vous conseille pas de vous en trop approcher car il pourrait bien.... (Acte 1, scène 15, MONSIEUR L'ÉCHALAS)
Il pourrait bien.... (Acte 1, scène 15, MONSIEUR L'ÉCHALAS)
Demandez-lui, et s'il ne m'a pas assuré qu'il me tordrait le cou, si je ne m'en allais pas bien vite ; aussi je n'ai pas demandé mon reste. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR L'?CHALAS)
Voilà une plaisanterie dont nous nous serions bien passez. (Acte 1, scène 15, LE COMMISSAIRE)
Messieurs , je vous souhaite bien le bonjour. (Acte 1, scène 15, LE COMMISSAIRE)
Je savais bien, moi, qu'il n'oserait pas approcher de l'Abbé. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR L'ÉCHALAS)
Il ne sera jamais si bien fait. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR DE LEURMONT)
Eh bien, Monsieur, avez-vous réussi ? (Acte 1, scène 17, LABRIE)
Est-il bien vrai ? (Acte 1, scène 18, MADEMOISELLE AGATHE)
Eh bien, Mademoiselle ? (Acte 1, scène 18, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Que si vous l'aimiez, Mademoiselle, sa grâce lui serait bientôt accordée. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR DE SAINT-IVAL PÈRE)
Quoi, c'est bien vous, Saint-Ival ? (Acte 1, scène 18, MADEMOISELLE AGATHE)
Eh bien, te crois-tu encore haï, méprisé ? (Acte 1, scène 18, MONSIEUR DE LEURMONT)
Quoi, Monsieur, il serait bien vrai ? (Acte 1, scène 18, MADEMOISELLE AGATHE)
Fort bien ! (Acte 1, scène 18, MONSIEUR DE LEURMONT)

LE PETIT POUCET (1771)

Hé bien, Perrette, es-tu tout-à-fait déterminée à perdre encore une fois nos enfants ? (Acte 1, scène 1, GUILLAUME)
Il le faut bien, Guillaume ! (Acte 1, scène 1, PERRETTE)
Le Petit Poucet a bien de l'esprit. (Acte 1, scène 1, GUILLAUME)
Javotte sera bien jolie. (Acte 1, scène 1, GUILLAUME)
Oui , mais d'ici au temps où ils seront grands, il y a bien loin ; que je les plains ! (Acte 1, scène 1, GUILLAUME)
Aussi bien le jour tombe. (Acte 1, scène 1, GUILLAUME)
Hé bien, mon frère, les voilà en allés. (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Hé bien , mon frère ? (Acte 1, scène 2, PIERROT)
J'y monterai bien aussi moi. (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Je vois une petite petite lumière, qui est bien loin, bien loin , bien loin. (Acte 1, scène 2, LE PETIT POUCET)
Ah, c'est bien bon cela ! (Acte 1, scène 2, JAVOTTE)
Hé bien ? (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Moi, oh ; c'est bien près, c'est ici ne faites pas de bruit. (Acte 1, scène 2, LE PETIT POUCET)
Oui, m'enfuir ; il a des bottes de sept lieues, avec quoi il m'aurait bientôt rattrapée. (Acte 1, scène 3, LA MÈRE BONNETTE)
Hé bien, le voilà qui me dit comme cela qu'il m'allait manger, si je ne voulais pas rester avec lui, pour le servir. (Acte 1, scène 3, LA MÈRE BONNETTE)
Et nous serions tous quatre bien sages, bien sages. (Acte 1, scène 3, JANETTE)
Hé bien, je m'en vais vous cacher ; mais il ne faudra pas remuer. (Acte 1, scène 3, LA MÈRE BONNETTE)
Cachez-vous bien , et ne faites pas de bruit. (Acte 1, scène 3, LA MÈRE BONNETTE)
Hé bien, la mère Bonnette, le souper est-il prêt ? (Acte 1, scène 4, L'OGRE)
Tu es bienheureuse d'être trop vieille, et de ce que je n'ai plus que quarante-neuf dents. (Acte 1, scène 4, L'OGRE)
Voilà du gibier qui vient bien à propos pour régaler trois Ogres de mes amis, qui viennent demain dîner avec moi. (Acte 1, scène 4, L'OGRE)
Hé bien, donne-leur donc à manger pendant que je vas souper ; afin qu'ils ne maigrissent pas. (Acte 1, scène 4, L'OGRE)
Oui, oui, j'en aurai bien soin. (Acte 1, scène 4, LA MÈRE BONNETTE)
Je reviendrai bientôt. (Acte 1, scène 6, LA MÈRE BONNETTE)
Il faut bien prendre des forces, si nous sommes obligés de nous enfuir. (Acte 1, scène 7, LE PETIT POUCET)
Hé bien, nous nous cacherons. (Acte 1, scène 7, LE PETIT POUCET)
C'est vrai , si nous pouvions seulement sortir de la Forêt, ou bien trouver des bûcherons, ils nous défendraient. (Acte 1, scène 7, LE PETIT POUCET)
Le jour va bientôt venir. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
C'est bien dit. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
Hé bien, mon frère, aidez-moi. (Acte 1, scène 7, JAVOTTE)
Je n'aime pas qu'on me contredise, tu le sais bien. (Acte 1, scène 8, L'OGRE)
Éclaire donc bien. (Acte 1, scène 8, L'OGRE)
Allons, je le veux bien. (Acte 1, scène 10, PIERROT)
Couchons-nous là, je trouverai toujours bien ces enfants. (Acte 1, scène 11, L'OGRE)
Je le crois bien endormi. (Acte 1, scène 11, LE PETIT POUCET)
Oui, il ronfle bien fort. (Acte 1, scène 11, PIERROT)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 11, PIERROT)
Va bien doucement. (Acte 1, scène 11, PIERROT)
Il est vrai que nous devions bien nous en douter, connaissant son bon coeur. (Acte 1, scène 12, GUILLAUME)
Oui ; mais j'ai bien peur qu'il ne leur soit arrivé quelque accident. (Acte 1, scène 12, GUILLAUME)
Il faut être bien inhumain, pour songer à exposer ainsi ses enfants ! (Acte 1, scène 12, PERRETTE)
N'êtes-vous pas bien las, n'avez-vous pas bien faim ? (Acte 1, scène 12, GUILLAUME)
Petit Poucet, Javotte, n'avez-vous pas eu bien peur ? (Acte 1, scène 12, GUILLAUME)
Je vous le disais bien : les pauvres enfants. (Acte 1, scène 12, PERRETTE)
Est-ce que vous chassez déjà à cause de la fête du Seigneur ; car on dit que vous avez bien du monde au Château aujourd'hui. (Acte 1, scène 10, GUILLAUME)
Oh, je croyons bien, il pense à tout lui. (Acte 1, scène 10, LA RENTRÉE)
Mon frère, nous avons bien fait de lui voler ses bottes. (Acte 1, scène 10, LE PETIT POUCET)
Ah ; c'est bien vrai, cela. (Acte 1, scène 10, JAVOTTE)
Oui, c'est bien vrai, bien vrai. (Acte 1, scène 10, JANETTE)
Vous vous faites bien chercher. (Acte 1, scène 15, BEAUVAIS)
Le Seigneur a appris que vous aviez perdu vos enfants, il est bien en colère contre vous. (Acte 1, scène 15, BOURGUIGNON)
Nous en avons bien été fâchés, Beauvais, vous pourrez bien lui dire. (Acte 1, scène 15, GUILLAUME)
Oh, je le crois bien ; car il veut se charger de les faire élever, et puis après de leur faire apprendre un métier à chacun. (Acte 1, scène 15, BOURGUIGNON)
On a bien raison de l'aimer dans le village. (Acte 1, scène 15, LA RENTRÉE)

LA VEUVE AVARE (1768)

Monsieur le chevalier, voulez-vous bien vous donner la peine d'entrer ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Monsieur du Bouloir, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
On m'a mandé qu'il n'avait rien laissé : c'est ce qui fait que je ne me suis pas pressé de venir ; mais, comme il mangeait fort peu, je ne comprends pas ce qu'est devenu son bien. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais son bien, de quelle nature était-il ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Il pourrait très bien se faire, si l'on n'a point de connaissance d'acquisitions, de contrats, que tout ce bien ne soit qu'en argent ou en papiers. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Si j'étais seul, j'aurais bientôt fini mon sort. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Eh bien ! (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
N'ayant point de bien, je ne pouvais espérer de l'obtenir, mais cela ne put diminuer mon amour : j'espérais encore de mon oncle, quoiqu'il n'eût jamais répondu à toutes les lettres que je lui ai écrites, lorsque j'appris sa mort, et en même temps qu'il ne m'avait rien laissé. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Eh bien ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Je suis garçon, je ne veux point me marier, j'ai du bien, je le donnerai à ma nièce à condition qu'elle vous épousera. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Tu te tiendras ici dessous : tu entendras bien ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DU BOULOIR)
Voulez-vous bien vous asseoir ! (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DU BOULOIR)
Monsieur, je n'entends point du tout les affaires : j'ai très peu de bien, je suis une pauvre veuve, bien à plaindre ; le petit que j'avais, mon mari l'a mangé. (Acte 1, scène 4, MADAME DE RUPERT)
Mais le bien de votre mari était en contrats, en terres sans doute, ainsi que le vôtre ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DU BOULOIR)
Vous avez bien de la bonté de me tranquilliser, mais ne me fera-t-il pas des frais, toujours ? (Acte 1, scène 4, MADAME DE RUPERT)
Monsieur, je vous ai bien de l'obligation de m'avoir tranquillisée : je sens que j'ai bien fait de venir vous consulter. (Acte 1, scène 4, MADAME DE RUPERT)
Je vous dis que vous n'avez rien à craindre : vous voyez bien qu'on n'entend pas de bruit. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
C'est-il bien vrai, mon garçon ? (Acte 1, scène 6, MADAME DE RUPERT)
Madame, il n'y avait point de feu du tout, si vous voulez que je vous dise : ceci n'est qu'une plaisanterie et qui tournera sûrement à bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
Madame, ce n'est pas un crime aussi grand que celui de vouloir retenir le bien d'autrui. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
Eh bien ! (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
Eh bien ! (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Finissons cette affaire sans perdre un instant : nous irons chercher ma nièce après, et j'aurai la satisfaction de faire votre bonheur à tous deux ; ne serais-je pas bien récompensé ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)

LES DEUX AUTEURS (1822)

Dans ce siècle d'esprit, a bien changé de mode. v.24 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE GRIS)
D'une pièce bien faite, en s'emparant du plan, v.37 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE NAIN)
Mais il faut bien choisir chez un auteur habile, v.39 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE NAIN)
Je peux bien m'en saisir pour une tragédie. v.51 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE NAIN)
Non, car j'ai bien choisi ; c'est un très joli conte. v.56 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE NAIN)
En cinq actes bien pleins, hormis le quatrième, v.67 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE NAIN)
Je m'en suis bien gardé; je veux brusquer, surprendre, v.91 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR LE NAIN)

L'HISTOIRE. (1822)

C'est bien à vous de venir de bonne heure comme cela. (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Mais vraiment, j'avais bien peur de ne pouvoir pas sortir ; ma mère ne veut jamais fermer sa porte. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Ma foi, c'est bien difficile à expliquer. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
Eh bien, Casse-Tête avait une soeur qui était chanoinesse, et qui eut tout d'un coup trente mille livres de rente de sa tante Lamotte Bouroncourt. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Oui, je sais bien tout cela. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Il m'en coûte assez pour cela, mesdames ; je suis bien aise de vous le dire. (Acte 1, scène 2, L'ABBÉ)
Mais c'est que je ne sais pas si je pourrai bien vous la conter. (Acte 1, scène 2, L'ABBÉ)
Oh bien, il vous la contera mieux que moi. (Acte 1, scène 2, L'ABBÉ)
Eh bien, commencez donc. (Acte 1, scène , LA MARQUISE)
Comment diable est-ce que je vous dirais bien ? (Acte 1, scène , LE COMMANDEUR)
Eh bien ? (Acte 1, scène , LA COMTESSE)
Eh, vous savez bien qui je veux dire, qui a eu un régiment il y a trois ans. (Acte 1, scène , LE COMMANDEUR)
Ah çà, ne me citez pas, parce qu'on n'est pas bien aise dans ces cas-là... (Acte 1, scène , LE COMMANDEUR)
Nous voilà bien instruits. (Acte 1, scène , LA COMTESSE)

LE CHANTEUR ITALIEN (1771)

C'est très bien fait. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DELAMARRE)
Et combien croyez-vous qu'il ait ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE SAINT-HYGIN)
Un de mes amis qui me l'a adressé et qui connaît son bien et ce que lui vaut sa banque, répond qu'il a quarante à cinquante mille livres de rente. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DELAMARRE)
Ma fille a du bien ; mais ici je ne trouverais jamais un pareil parti. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE SAINT-HYGIN)
C'est très bien dit ; mais c'est que j'ai affaire, et je ne sais pas à quelle heure je pourrai revenir. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DELAMARRE)
Hé bien, Papa, il n'y a pas encore un violon d'arrivé, il n'y a que les Basses, concevez-vous que ces Messieurs se fassent attendre aujourd'hui encore comme la dernière fois ? (Acte 1, scène 2, MADEMOISELLE-DE-SAINT-HYGIN)
Je suis pas encore bien au fait de la langage de ste pays, mais j'ai purtant entendou dire beaucup de Mademoiselle pour son gût pour notre mousique. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Je suis bien fâché de n'avoir pas encore été plous longtemps ici. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Oh, tujurs ; je sais pas encore bien autrement. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Monsieur, suivant ce qu'on m'a dit, il serait aisé de vous y fixer, et il n'y a personne qui ne voulût s'allier avec un homme aussi honnête que vous ; ma fille a du bien, elle en aura encore davantage, et l'on doit vous avoir dit que je serais charmé pour ma part, que tout cela pût vous convenir. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HYGIN)
Monsieur, après la concert, vous direz si je chante bien, et puis, s'il vous plaît, l'argent il me fait point, je suis content tujurs de vivre à Paris, par tut ce que j'y ai vous. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Le concert n'est pas une chose qui doive nous retarder, je m'en vais envoyer chercher mon notaire qui vous montrera l'état des biens de ma fille. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HYGIN)
Pardonnez-moi, quand on se marie, il faut bien que toutes ces formalités-là se fassent. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HYGIN)
Monsieur, je vois bien que c'est un badinage ; c'est pourquoi je dis rien à cela. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Hé bien, vous entendrez le concert. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HYGIN)
Je dis point qu'il n'est pas jolie ; mais pour la mariage c'est autrement ; vous savez bien que je ne puis pas. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Vous n'entendez pas bien, je crois, ce que j'ai l'honneur de vous dire. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-HYGIN)
Oui, Mademoiselle, il dit bien, et la concert il vaut mieux pur moi. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Je entend fort bien ; c'est pur cela que je dis comme il est vrai, certainement. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR OCTAVINI)
Ma foi, mon ami, je suis bien fâché, mais on m'a dit que notre homme en question était allé à Saint-Cloud se promener, et qu'il ne rentrerait que ce soir fort tard. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DELAMARRE)
Monsieur, vous voyez bien à ste moment. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR OCTAVINI)

LE PETIT MAÃŽTRE PAR PHILOSOPHIE (1778)

Je suis bien sûr de n'aimer jamais une coquette. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Je puis bien répondre que jamais... (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Bien peu de chose. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Je le souhaite , puisque cette idée te charme ; je suis bien éloigné de vouloir la détruire, je veux même t'aider. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Je vous ai surpris hier la Comtesse et toi, dans un moment où je crois que vous vous disiez peu de chose ; cependant peu-à-peu j'ai vu ma présence vous contrarier, et je ne suis sorti que lorsque j'ai été bien sûr que vous ne vous retrouveriez plus seuls de la journée. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Te voilà bien surpris. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Combien on voit d'hommes qui ont eu cette conduite, qui même ne sont plus jeunes, être fêtés, cités, prônés, courus encore , par la plus grande partie des femmes qu'ils ont eus ; pendant que ceux qui ont été ce qu'on appelle réellement constants, se reconnaissent à peine ; encore n'est-ce que pour se récrier en même temps, que j'ai vu cette femme-là jolie ! (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Et la pratique en est douce, et agréable : suis-la, ou bientôt tu te verras livré au désespoir d'être quitté, quoique sans raison : qui cesse de plaire, n'a point de droit de se plaindre en éprouvant une infidélité. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
C'est bien mon dessein. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Hé bien , employons l'art. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
« Vous avez bien fait, Monsieur, de ne pas venir souper chez moi avant-hier, nous aurions été seuls ; venez demain, je ferai ce que je pourrai pour avoir du monde ; mais je ne vous en réponds pas ; cette incertitude vous fera-t-elle peur ? (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Très bien, te dis-je. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Je vais essayer ; mais je crains bien... (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Chevalier, j'ai été bien longtemps, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Je suis fort bien. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Hé bien, où allez-vous ? (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Hé bien , voyons, que croyez-vous ? (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Je le crois bien. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Ah, parlons sensément ; nous nous connaissons trop bien pour avoir cette crainte ni l'un ni l'autre jamais ; vous avez raison. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Non, Chevalier, ce sont des liaisons légères, ou le goût a souvent même bien peu de part. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Pardonnnez-moi, parce que demain je ne vous verrai pas de la journée, et je suis bien aise que vous vous amusiez quelquefois quand vous ne me voyez pas. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Je le sais bien. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Hé bien, Madame, il faut vous l'avouer, je suis la victime d'une façon de penser qui n'est pas à moi ; je me suis laissé séduire, et je suis trop coupable pour ne pas me soumettre à tout ce que vous ordonnerez. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Ce principe que vous ignorez, qui m'a fait faire une faute que je ne me pardonnerai jamais ; bien loin qu'il soit une preuve que je veux cesser de vous aimer, était au contraire un moyen que je voulais employer pour assurer mon bonheur pour toute la vie. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Hé bien, Madame ; c'est avec la dernière confusion que je vais vous avouer que j'ai voulu vous inquiéter par ce billet. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Hé bien, hé bien, que dis-tu donc là ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Dans quelque temps, je suis bien sûr que tu penseras comme moi. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)

LE CHASSEUR ET LES JOUEURS. (1822)

- Eh bien ? (Acte 1, scène 1, DURAND)
- Allons de l'autre côté ; je reviendrai toujours bien ici. (Acte 1, scène 1, DURAND)
Eh bien, nous y jouerions à notre aise. (Acte 1, scène 2, SAINT-ROMAIN)
Je sais bien qu'à Besançon, où j'ai été six mois en prison, le geôlier nous fournissait des cartes tant que nous voulions, la nuit surtout. (Acte 1, scène 2, CLERAC)
Je n'ai jamais si bien passé mon temps. (Acte 1, scène 2, CLERAC)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 2, SAINT-ROMAIN)
Nous jouions quelquefois à l'armée bien plus mal à notre aise. (Acte 1, scène 2, CLERAC)
Combien joues-tu ? (Acte 1, scène 2, SAINT-ROMAIN)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 4, LA RENTRÉE)
Je n'ai pas besoin qu'on me soutienne ; je marcherai bien. (Acte 1, scène 4, SAINT-ROMAIN)

LES BONS (1768)

Je sais bien que Madame votre mère s'intéresse pour eux, et je lui ai dit qu'ils n'étaient pas dans le cas qu'on leur fasse de grâce. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUPONT)
Vous avez bien fait ; mais Madame de Franville m'a dit qu'elle se brouillerait avec moi, si je ne finissais pas cela comme elle le désire ; ainsi vous voyez bien.... (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DEGRANTIER)
C'est très bien. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DEGRANTIER)
Il est encore bien heureux. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DEGRANTIER)
Je devais sortir ce matin ; mais une affaire que j'avais, est remise ; j'en suis bien aise, parce que j'ai l'honneur de vous voir. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DEGRANTIER)
Elle est bien bonne ; j'aurai l'honneur de lui aller faire ma cour incessamment. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DEGRANTIER)
Si vous voulez bien. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DEGRANTIER)
Eh bien, Monsieur, qu'est-ce qu'il y a ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DEGRANTIER)
Monsieur, je suis bien fâché... (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DESPRÉS)
Moi, je suis bien aise de voir que vous vous portiez bien à présent. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEGRANTIER)
Comment est-ce que la campagne ne vous a pas fait de bien? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEGRANTIER)
Eh bien oui ; mais je ne peux pas faire autrement ; ne parlons plus de cela. (Acte 1, scène 6, MADAME DEVILLEMARE)
Ah bien, j'arrangerai cela avec lui. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEGRANTIER)
Oui, oui ; mais je voudrais bien savoir à propos de quoi vous vous avisez de me faire parler comme cela par tout le monde. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEGRANTIER)
Et vous avez bien fait Monsieur. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEGRANTIER)
Monsieur, ce sont ces Dames qui veulent bien s'intéresser à moi, et qui ont cru, que vous voudriez bien me protéger. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEMERIN)
Ces Messieurs-la ne font jamais contents avec douze cents francs il me semble qu'il y a pourtant bien de quoi vivre. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DEGRANTIER)
Monsieur, Madame de Franville vous fait bien ses compliments, et voilà une lettre qu'elle m'a chargé de vous remettre. (Acte 1, scène 9, DUBOIS)
Ah je suis bien aise de lui faire plaisir, ainsi qu'à vous, Monsieur Dubois. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DEGRANTIER)
Tenez, Messieurs, ah ça, j'espère que vous vous comporterez bien. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DEGRANTIER)
Ah, Monsieur, vous pouvez en être bien sûr. (Acte 1, scène 9, DUBOIS)
Nous vous avons bien de l'obligation, et nous ne l'oublierons jamais. (Acte 1, scène 9, DUBOIS)
C'est très bien. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DEGRANTIER)

LE PORTRAIT (1771)

Ah, ah, voilà qui est très bien ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DURBAIN)
Cela vous est bien aisé à dire ; on voit bien que vous ne peignez pas le Portrait. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNARD)
Hé bien, nous autres, nous mettrions toutes les expressions, les minauderies et les grimaces qu'une femme peut faire, je vous réponds qu'on ne ferait pas encore content. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNARD)
Tenez, vous vous souvenez bien de cette jeune mariée que vous trouvâtes ici un jour, qui vous parut si jolie et que vous disiez que vous voudriez bien avoir pour faire une tête de Vénus ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNARD)
Hé bien, elle a le plus vilain mâtin de mari, qu'on puisse rencontrer. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNARD)
J'en ai été tenté bien des fois ; mais il faut vivre ; si j'étais garçon, avec un peu de Philosophie, je me tirerais d'affaires. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BERNARD)
Hé bien, la Comtesse n'est pas encore venue ? (Acte 1, scène 3, L'ABBÉ)
Hé bien, le portrait ? (Acte 1, scène 3, L'ABBÉ)
Oui, j'entends bien ; cependant... (Acte 1, scène 3, L'ABBÉ)
Je sais bien que non ; mais pour la contenter, si vous pouviez... (Acte 1, scène 3, L'ABBÉ)
Monsieur Bernard, je crois que vous allez bien me gronder. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Vous me trouverez les yeux bien petits aujourd'hui, Monsieur Bernard, je n'ai pas dormi de la nuit. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Me tiens-je bien ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Allons, cela ira bien. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BERNARD)
Hé bien, me voilà. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Monsieur l'Abbé, je vous demande en conscience, s'il est possible de faire quelque chose de bien de cette façon-là. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BERNARD)
Je ne me tiens pas trop bien, Monsieur Bernard ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Hé bien, l'Abbé, dites-donc ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Hé bien, l'Abbé ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je suis bien sûre que non, l'Abbé. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je le sais bien. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Hé bien, l'Abbé, Monsieur de Morangeac ?... (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Le Chevalier de, de... de Grainfort, ou un autre nom, je ne me rappelle pas bien. (Acte 1, scène 4, L'ABBÉ)
Hé bien, Monsieur Bernard ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
J'en suis très contente à présent, et si vous voulez que je vous dise, je n'espérais pas qu'il serait si bien. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Moi, je vous ai déjà dit qu'il était bien, dès la première fois. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Voilà bien comme sont les maris. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
À qui le ferions nous bien voir ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
C'est bien dit. (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Oui, oui, très bien. (Acte 1, scène , L'ABBÉ)
Je voudrais bien l'emporter avec moi ; cela se peut-il ? (Acte 1, scène , LA COMTESSE)
Ah, Madame, je n'ai que faire de regarder, je vois bien que c'est vous. (Acte 1, scène 8, LA FRANCE)
L'Abbé, vous auriez bien dû me venir prendre. (Acte 1, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Voilà, Madame de Clerfont, très-ressemblante ; mais bien flattée. (Acte 1, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Je vous assure bien, Monsieur, que je ne me ferai jamais peindre que par vous. (Acte 1, scène 9, LA PR?SIDENTE)
Je vous dis que ce n'est pas elle, regardez bien. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Moi, je le trouve fort bien, et tout le monde le trouve à merveilles. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Mais vous conviendrez bien que ce n'est pas là son nez, il est moins long que cela ; ni la bouche, ni les yeux : il y a bien quelque chose du front ; encore ses cheveux sont mieux plantés ; en un mot, elle est plus blanche ; et puis comme c'est peint ! (Acte 1, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
C'est inutile, il ne sera jamais bien. (Acte 1, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Il m'avait paru assez bien, à présent que je le regarde, tenez, tenez, je ne l'avais pas vu comme cela, de côté, il est horrible ! (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Monsieur, je ne vois très bien ; mais je suis à présent comme la Présidente, et je regrette bien le temps que j'ai perdu à me tenir. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Hé bien, Madame, nous perdons ici du temps, n'allons-nous pas à l'Opéra ? (Acte 1, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Je voudrais bien savoir ce qu'elles peuvent trouvera à redire à ce portrait. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR BERNARD)
Vous avez bien raison ; c'est un tableau qui n'a point de prix. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BERNARD)
Hé-bien, ces Dames le trouvent affreux. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BERNARD)
Si vous le trouvez bien, cela me console. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BERNARD)
Je vous dis que... enfin, je sors de voir mon Reimbrand ; hé-bien, il ne vous fait point de tort, du tout. (Acte 1, scène 11, LE BARON)
Je le prendrai moi, je vous réponds bien qu'elle n'en aura seulement pas de copie ; laissez, laissez-moi faire. (Acte 1, scène 11, LE BARON)
Hé bien, j'y vais aussi, nous causerons ; prenez votre épée et votre chapeau. (Acte 1, scène 11, LE BARON)
Oui, Monsieur : hé bien sans moi... Avais-je raison ? (Acte 1, scène 11, GERMAIN)

LE FRIPON ORGUEILLEUX (1781)

Il donne des spectacles chez lui ; on y joue la comédie assez bien : qu'est-ce que j'ai fait chez moi ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BOUFFI)
Eh bien, cela est encore un triomphe pour vous. (Acte 1, scène 1, MADAME DE CLERSEL)
Mais s'il vous traite bien ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE CLERSEL)
Eh bien, ne dites rien à Monsieur_le_Duc de nos projets. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BOUFFI)
Monsieur_le_Baron a bien de la bonté ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BOUFFI)
Vous voyez bien que je n'ai pas tort de le recevoir. (Acte 1, scène 3, MADAME DE CLERSEL)
Il y a bien quelque chose à redire sur la manière dont il s'est enrichi. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Eh bien, Madame, ne parlons plus de lui, ne parlons que de vous. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Non sûrement, Monsieur_le_Duc ; mais je crains bien d'avoir abusé de vos bontés, en vous engageant dans une démarche infructueuse. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Lorsque je suis arrivé, il était ici seul avec elle, et il ne l'a quitté qu'en l'assurant qu'il reviendrait bientôt. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Reposez-vous sur moi, mon cher Baron ; vous savez combien je vous aime, n'ayez point d'inquiétude. (Acte 1, scène 5, LE DUC)
Si cela ne dépend que de moi, vous pouvez en être bien sûre. (Acte 1, scène 6, LE DUC)
C'est un titre fort commun pour bien des gens, et ces grâces-là ne s'accordent qu'en faveur du mérite ou des services rendus à l'État. (Acte 1, scène 6, LE DUC)
Je sais de qui vous me parlez, Madame, et je suis bien étonné que vous vous intéressiez pour cet homme-là ! (Acte 1, scène 6, LE DUC)
Eh bien, apprenez que c'est de lui que je faisais le portrait dans tout ce que je vous ai dit. (Acte 1, scène 6, LE DUC)
Si vous en avez bien pensé jusqu'à présent, soyez détrompée ; tôt ou tard vous verrez la vérité de ce que je vous dis. (Acte 1, scène 6, LE DUC)
Eh bien ? (Acte 1, scène 7, LE DUC)
Eh bien, vous n'imagineriez pas de quoi il vous accuse ? (Acte 1, scène 9, LE DUC)
Monsieur_le_Duc a bien de la bonté ! (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BOUFFI)
Je reconnais bien la protection dont Monsieur_le_Duc veut bien m'honorer, et j'en suis comblé de reconnaissance. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BOUFFI)
Eh bien, Monsieur_le_Duc, je vous demande bien pardon ; mais je vous jure qu'il le sera. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BOUFFI)
Pour moi, je voudrais employer mon temps chaque jour aussi bien. (Acte 1, scène 11, LE DUC)

LES DÃ‰SESPÃ‰RÃ‰S DE L'OPÃ‰RA (1768)

Mais, Monsieur, il était bien fort. (Acte 1, scène 1, LE GARÇON)
Il y a des choses bien plus intéressantes que tout cela. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR PILLIER)
Je le sais parbleu bien, on ne veut pas donner des anciens. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR PILLIER)
Eh bien, Monsieur sanglier, cette voix que vous disiez que nous aurions ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR PILLIER)
Si l'on pouvait donner des Opéra de Lully, il n'est pas douteux que nous reprendrions bientôt le dessus, j'en suis bien sûr, moi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SANGLIER)
Qu'on nous donne du Rameau seulement ; allons je le veux bien, je le leur passe. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR PILLIER)
Pas tant que dans Lully, voilà le vrai goût français et que je voudrais bien voir renaître, sans cela nous sommes perdus. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SANGLIER)
J'y suis bien résolu. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SANGLIER)
Eh bien, voyons ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SANGLIER)
On voit bien qu'il n'y a pas d'Opéra, Monsieur, aujourd'hui, sans quoi on ne vous verrait sûrement pas ici. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PILLIER)
Il y aurait autre chose, ou bien j'irais à la promenade, ces jours-là, ou je ferais des visites. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR QU'IMPORTE)
Mais il faut que les airs de violon soient bons, pour que l'on danse bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PILLIER)
Adieu, Messieurs je vous souhaite bien le bonjour. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR QU'IMPORTE)
Monsieur, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PILLIER)
Nous nous étions bien adressés, pour fortifier notre parti, Monsieur Pillier, qu'en dites-vous ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR SANGLIER)
C'est vrai ; mais comme c'est le bien public qui nous occupe, il ne faut pas s'y refuser. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR PILLIER)
Vous êtes bienheureux, Monsieur, voilà ce qu'on appelle avoir des ressources ; mais dans les grandes affaires, il faut de grands moyens pour les faire réussir. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR SANGLIER)
J'entends bien ce que veut dire Monsieur ; moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR SANGLIER)
Un bon poème, une bonne musique et des acteurs qui chantent bien et qui sachent bien débiter. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR SANGLIER)
Point du tout, on peut s'en passer très bien. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR POINTDUTOUT)
Quand on n'a pas d'autres ressources, car vous en conviendrez bien ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR PILLIER)
Point du tout ; songez donc que vous avec cela cela et cela ; tranquillisez-vous ; je vous souhaite bien le bon soir. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR POINTDUTOUT)
Eh bien, Monsieur Pillier ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR SANGLIER)
Eh, bien ! (Acte 1, scène 6, MONSIEUR PILLIER)
Je dis toujours qu'il n'y aura bientôt plus d'Opéra. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR SANGLIER)

L'AUTEUR ET L'AMATEUR (1771)

Ah, Monsieur, c'est une chose bien difficile à faire qu'un Opéra. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Monsieur, je serai charmé que vous vouliez bien me donner vos conseils ; je les suivrai avec grand plaisir. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PASTOUREAU)
J'ai toujours été épouvanté de cette entreprise ; c'est ce qui fait que je n'ai jamais osé la tenter : je sais bien tous les moyens qu'il faut employer pour réussir, et bien des auteurs m'ont eu l'obligation de leurs succès ; mais c'est après bien du travail. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
J'espère, Monsieur, que vous voudrez bien avoir les mêmes bontés pour moi. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PASTOUREAU)
Vous voyez bien que vous voilà tout-à-fait hors des principes. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Non, Monsieur, gardez-vous-en bien ; vous ne trouveriez pas de musicien, qui voulût se charger de mettre votre poème en musique, et il aurait raison. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Eh bien, Monsieur, voyez toujours le plan de mon poème. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PASTOUREAU)
Mais, Monsieur, un moment, vous voyez bien que vous n'y êtes pas. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Je le sais bien ; et puis Glaucus n'a pas un entretien avec Léda. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Monsieur, cela marche très bien. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PASTOUREAU)
À la Chine, c'est bien quelque chose ; mais je ne vois pas là d'Enfer ; et puis ce serait trop tard. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Vous voyez bien, Monsieur, que voilà du feu. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR PASTOUREAU)
On voie bien que vous avez des idées ; mais ce n'est pas cela... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Je sens bien cela ; mais je voudrais tourner ce vers-là... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
J'entends bien ; mais... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)
Vous voyez bien qu'à force de chercher on trouve. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DELOUREVILLE)

L'ABBÃ‰ DE COURE-DÃŽNER. (1822)

Vous entendez bien ce que je vous dis, dame Anne ? (Acte 1, scène 1, L'ABBÉ)
Oui, Monsieur l'Abbé ; mais je suis fâchée que vous ne vouliez pas diner ici ; vous auriez un gigot bien mortifié, bien bon. (Acte 1, scène 1, DAME ANNE)
Eh bien, savez-vous quelque chose de nouveau ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE MONFORT)
Eh bien, vous mangerez la pareille ici. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE MONFORT)
Il faut bien vivre ; l'argent n'est fait que pour s'en servir. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE MONFORT)
Je suis bien fâché qu'elle ne soit pas arrivée. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE MONFORT)
Autrefois c'était bien différent ; je suis bien baissé. (Acte 1, scène 3, L'ABBÉ)
Cela va bien encore. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE MONFORT)
Ah, l'Abbé, c'est bien honnête de me venir voir ! (Acte 1, scène 6, LE PRÉSIDENT)
Monsieur le Président sait bien que quand je ne viens pas ici, ce n'est pas ma faute. (Acte 1, scène 6, L'ABBÉ)
Eh bien, le manuscrit en question ? (Acte 1, scène 6, LE PRÉSIDENT)
La Byzantine grecque ; c'est-il bientôt traduit ? (Acte 1, scène 6, LE PR?SIDENT)
C'est très bien fait. (Acte 1, scène 6, L'ABBÉ)
Je suis bien aise qu'on vous ait laissé entrer, vous mangerez un poulet avec moi. (Acte 1, scène 6, LE PRÉSIDENT)
Je vous suis bien obligé ; je ne peux pas avoir cet honneur-là. (Acte 1, scène 6, L'ABBÉ)
Eh bien, en vous reconduisant, vous serez au fait aussi bien que moi. (Acte 1, scène 6, LE PRÉSIDENT)
Madame, il m'a bien amusée, parce qu'il remue la tête. (Acte 1, scène 7, JULIE)
Mais ce n'est pas cela qu'il y a à considérer ; c'est comme il est bien fait, c'est la vérité qu'il y a dans le visage. (Acte 1, scène 7, LA MARQUISE)
L'Abbé, eh bien, cette pièce nouvelle que vous et moi nous avions trouvée charmante, et qui est tombée ! (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
Comme je fais, par exemple, par des dissertations bien raisonnées. (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Eh bien, que vous fait l'heure ? (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
Eh bien, l'on va vous faire quelque chose.Je ne dîne pas moi, parce que je suis d'un souper de noce ; mais je vous tiendrai compagnie. (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
Je peux bien me tromper. (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
Je voudrais pourtant bien que vous restassiez ; je vous ferais voir un oursin qu'on va m'envoyer, qui est de la plus grande beauté, une momie, et une scalata qui est admirable ! (Acte 1, scène 8, LA MARQUISE)
Je vous suis bien obligé, je ne soupe jamais. (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
C'est donc une maladie bien sérieuse ? (Acte 1, scène 9, BEAULIEU)
Vous avez bien fait. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BOURNIN)
Eh bien, oui. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BOURNIN)
Eh bien, qu'est-ce que vous voulez ? (Acte 1, scène 10, FLAMAND)
Cela est bien prompt. (Acte 1, scène 11, L'ABBÉ)
Je vous dirais bien, moi... (Acte 1, scène 11, L'ABB?)
Si madame sa soeur était ici, cela serait différent : mais je suis tout seul, et... vous entendez bien ? (Acte 1, scène 11, BEAULIEU)
Vous voyez bien que c'est le chien du charron ; je l'entends souvent, j'en suis sûre. (Acte 1, scène 12, BABET)
C'est bien malheureux ! (Acte 1, scène 13, MADAME BERTRAND)
Tu vois bien, Babet, qu'il n'est pas si tard que tu disais. (Acte 1, scène 13, MADAME BERTRAND)
Vous voyez bien aussi que j'ai raison, ma mère. (Acte 1, scène 13, BABET)
Il faut bien que je m'en aille. (Acte 1, scène 13, L'ABBÉ)
Dites-lui bien de faire tout ce que je vous ai dit, entendez-vous ? (Acte 1, scène 13, L'ABBÉ)
Adieu, Madame Bertrand ; je vous serai bien obligé. (Acte 1, scène 13, L'ABBÉ)
Monsieur, je suis bien votre servante. (Acte 1, scène 13, MADAME BERTRAND)
Tu es bien aise qu'il n'avait pas sa clef, à cause du chien ? (Acte 1, scène 13, MADAME BERTRAND)

LES Ã‰POUX MALHEUREUX (1771)

« Vous êtes bien vengé, Monsieur, de ma désobéissance, j'ai fait le malheur de tout ce que j'aime ; Pauline languit avec moi, dans la plus affreuse misère : sans avoir su mes torts envers vous, elle en partage la punition. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE SAINT-FIRMIN)
Pourquoi, sans la connaître, avoir refusé votre consentement à notre mariage, et m'avoir forcé, par cette résistance, à vous demander les biens dont vous ne vous étiez chargé que par bonté, par amitié pour moi ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE SAINT FIRMIN)
Ils m'ont été ravis ces biens, par un monstre qui, sous le nom d'ami, a trahi ma confiance. Ce n'est pas pour moi que j'implore votre pitié ; c'est pour une femme vertueuse que j'adore, que vous aimeriez si vous la connaissiez. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE SAINT FIRMIN)
Eh bien, Chère Pauline, je vous obéirai ; vous triompherez toujours de moi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE SAINT-FIRMIN)
Eh bien, qu'une sage économie nous soutienne jusqu'à ce que... (Acte 1, scène 2, PAULINE)
Eh bien, Monsieur_Vincent, reprenez courage ; j'espère pouvoir vous tirer de peine. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-FIRMIN)
Oui, je sais un homme qui connaît les biens qui doivent un jour me revenir, je prendrai avec lui tous les arrangements qu'il voudra. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE SAINT-FIRMIN)
Monsieur, oserais-je vous demander combien je dois attendre encore ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINCENT)
Adieu, Monsieur et Madame, je suis au désespoir de vous avoir chagrinés, ce n'était pas mon dessein ; je vous en demande bien pardon. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINCENT)
Si le Ciel nous favorise quelque jour, je sens que toutes les épreuves que nous aurons souffertes seront un bien pour moi, puisqu'elles me font connaître l'excellence de ton coeur et la délicatesse de ton âme. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE SAINT-FIRMIN)
Non ; Monsieur_Vincent avait bien été mis, par le Procureur de la Direction, au nombre des créancier du sieur de Préval ; mais il vient, dans l'instant, de se désister de ses poursuites. (Acte 1, scène 5, L'HUISSIER)
Monsieur et Madame, je vous souhaite bien le bonjour. (Acte 1, scène 5, L'HUISSIER)
Reviendra-t-il bientôt ? (Acte 1, scène 8, DUMONT)
Eh bien, tu t'es trompé ? (Acte 1, scène 10, PAULINE)
Eh bien, mourons ; que pouvons-nous attendre actuellement ? (Acte 1, scène 10, PAULINE)
Il est mort désespéré de vous avoir traité avec tant de rigueurs, et il vous a donné tous ses biens. (Acte 1, scène 11, DUPRÉ)
Vous connaissiez son caractère inflexible ; la maladie l'avait bien adouci. (Acte 1, scène 11, DUPRÉ)
Il m'est bien doux de n'avoir plus à craindre pour vous ; mais, Saint-Firmin, allons trouver Monsieur_Vincent, nous devons le secourir promptement. (Acte 1, scène 11, PAULINE)
Voilà comme il faut rendre grâce au Ciel de ses bienfaits. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE SAINT-FIRMIN)
Mon ami, nous n'en avons plus besoin, ni vous non plus, vous en pouvez être bien assuré. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE SAINT-FIRMIN)
Serait-il bien possible ! (Acte 1, scène 12, MONSIEUR VINCENT)

LE BON MARI (1771)

Eh bien ! (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Tu parles en homme bien sûr de plaire. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Je serais bien embarrassé de vous dire autre chose. (Acte 1, scène 2, LE VICOMTE)
Eh bien ! (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Cependant, vous avez été bien sûre que je ne l'aimais pas ? (Acte 1, scène 2, LE VICOMTE)
Bien sûre ; parce que vous m'avez dit que je me trompais, et que je trouvais indigne de vous et de moi de ne vous pas croire, et de faire d'autre recherche pour savoir si cela était vrai ; voilà comme je suis. (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Je suis bien sûr que je passerai pour ridicule en paraissant aussi délicat. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Je ne persifle point ; je sais très bien que vous êtes attaché, depuis près d'un mois, à la Marquise_de_Villenon. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Vraiment je sais bien que vous n'irez pas en convenir ici. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Il fallait me mettre dans votre confidence, pour m'empêcher de dévoiler votre secret ; cela eût été même très adroit et bien plus neuf, que ce que vous avez voulu me faire croire, quand je vous ai trouvé aux genoux de Madame. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
C'est un bien auquel il ne faut point mêler d'amertume ; vous devez être sûre de moi ; ne me cachez rien de ce qui se passe dans votre âme ; je ne veux pas y laisser établir le plus léger soupçon ; je vous sacrifierai tout ; il n'est pas juste que vous ayez la moindre inquiétude. (Acte 1, scène 4, LE VICOMTE)
Le Chevalier ne m'a que trop bien tenu parole : je perds tout en un jour, je suis désespéré ! (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)

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L'AUTEUR AVANTAGEUX. (1768)

C'est très bien. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
La chaleur avec laquelle vous en parlez, prouve bien que vous seul en êtes capable. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Monsieur, j'avais vu admirer nos plus belles tragédies, j'en avais bien senti aussi toutes les beautés ; car je suis juste, j'avoue qu'il y en a ; mais je trouvais qu'il manquait toujours quelque chose à l'ouvrage le plus parfait dans ce genre. (Acte 1, scène 1, L'ABBÉ)
Ce que c'est que de bien voir ! (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Hé bien, moi, je vois souvent dans celles qui tombent, des lueurs de génie, qui ne sont pas dans les autres. (Acte 1, scène 1, L'ABBÉ)
Je remonte au principe ; or on ne voyage jamais qu'on n'en retire quelque fruit, selon l'étendue de ses connaissances, vous entendez bien ! (Acte 1, scène 1, L'ABBÉ)
Ce sera bien autre chose, quand vous verrez ma pièce. (Acte 1, scène 1, L'ABBÉ)
Une preuve qu'ils ne le Sont pas, c'est qu'ils me la font demander par tout le monde ; qu'ils font agir auprès de moi les puissances supérieures, Sur ce qu'un des leurs qui me l'a entendu lire, Sans que je le susse, leur en a dit : vous sentez bien que s'ils en avaient conçu toutes les difficultés, ils auraient été épouvantés. (Acte 1, scène 1, L'ABBÉ)
Monsieur le Chevalier, je vous demande bien pardon, je revois... (Acte 1, scène 2, LE COMÉDIEN)
Vous dites cela bien froidement ; vous êtes sans doute fâché contre lui. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Hé bien ? (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Hé bien ? (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Pas un ; c'est beaucoup dire, cependant je serais bien embarrassé d'en trouver qu'on pût citer. (Acte 1, scène 2, LE COMÉDIEN)
Le Public le saurait bientôt , si je la leur disais. (Acte 1, scène 2, LE COMÉDIEN)

LE DISTRAIT (1783)

Je vous l'ai déjà dit ; vous m'avez répondu ; hé bien, allons aux Tuileries, nous causerons plus tranquillement. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Oui, et si la Comtesse y consent, ce sera une affaire bientôt finie. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Hé bien, que dites-vous de cette affaire-là ? (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Ne fais-je pas bien ? (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Cela fait un mariage bien avancé. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Elle est comme le Vicomte_de_Montfort, qui a marié sa fille le mois passé ; hé bien, je n'aime pas ce mariage-là. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Vous voyez bien que je ne me trompe pas de mot cette fois-ci, et que je ne dit pas Compagnie pour campagne. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Oui, vous ferez bien ; parce que ce mariage, le procès de la Comtesse, tout cela m'occupe beaucoup ; on a mille lettres à répondre ; elle veut que je lise un roman nouveau : tout cela ne peut pas s'accorder ensemble, vous en conviendrez bien. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Cela peut bien être. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Eh bien, oui, le Vicomte ; je le veux bien. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Hé bien, en ce cas-là tout le monde. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Oui, c'est délicieux ; c'est ce que je disais ; il vous a fait bien rire hier, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Ah, j'oubliais bien ! (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Vous voyez bien ce papier-là ; devinez. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Hé bien, avec qui ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je vous demande bien pardon. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)

LA RECOMMANDATION (1771)

Je suis bien aise que vous ayez bonne opinion de moi, certainement ; mais convenez que vous seriez fâché de me voir de l'orgueil ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Quand on est bien content de soi, on est bien près de mériter de ne plus l'être. (Acte 1, scène 1, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Mon_Dieu, l'on est si récompensé de faire le bien ; on goûte une si grande satisfaction, qu'il n'y a pas un grand mérite à s'en occuper. (Acte 1, scène 1, MADAME DE LA BRUYÈRE)
C'est pousser trop loin le scrupule : lorsque les autres en jouissent, c'est toujours bien fait, n'importe quel en est le principe. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE LA BRUYÈRE)
Vous faites bien celui d'une femme qui mérite l'estime et l'amour de son mari. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE LA BRUYÈRE)
Je suis bien aise de vous voir cette façon de penser. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DE LA BRUYÈRE)
Elle aurait été bien surprise, si elle nous avait entendus. (Acte 1, scène 2, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Mais, Madame, assez bien. (Acte 1, scène 2, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Vous êtes bienheureuse, pour moi il y a des jours où je suis anéantie et, si cela dure... (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Je ne peux pas vous bien dire... (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Vous imaginez bien ? (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Eh bien, passez par ici. (Acte 1, scène 2, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Voulez-vous bien, Madame ? (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Voulez-vous bien me dire ce que c'est ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE LA BRUYÈRE)
Madame, vous voulez donc bien que je passe par là ? (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Je l'espère bien. (Acte 1, scène 2, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Voilà un homme bien recommandé. (Acte 1, scène 3, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Eh bien, parlez-lui, vous jugerez facilement de quoi il est capable. S'il n'avait pas compté sur Madame de Saint-Léger, il aurait trouvé quelqu'un qui l'aurait mieux protégé, ne m'ôtez pas cette satisfaction. (Acte 1, scène 3, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Je voudrais que vous puissiez faire quelque chose pour lui ; quand ce ne serait que pour faire sentir à la Comtesse, que quand on ne fait pas mieux les affaires dont on se charge, on ne devrait pas s'en mêler ; et qu'on y fait plus de tort que de bien. (Acte 1, scène 3, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Je le crois bien, Monsieur ; c'est lui qui m'a perdu. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DUMONT)
Eh bien, Monsieur de la Bonde a profité de trois jours, que je n'ai pas pu quitter ma mère, qui était à toute extrémité, pour me faire ôter mon emploi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DUMONT)
Je vous demande bien pardon de vous exposer tout cela ; mais je ne l'aurais jamais fait, si votre bonté ne m'avait rassuré, sans m'humilier. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DUMONT)
Je suis trop heureux de pouvoir avoir Monsieur Dumont, s'il le veut bien. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE LA BRUYÈRE)
Eh bien, pourquoi donc êtes-vous entrée ici ? (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Si vous sollicitez aussi bien que pour les autres, vous devez être sûr de réussir. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE LA BRUYÈRE)
J'ai un échange à proposer au Roi, d'une partie de terre qui pourrait lui convenir en me cédant une autre portion de domaines, qui m'agrandirait et rendrait ma terre bien plus agréable. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Eh bien, je vous apporterai tous mes papiers un de ces jours. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Monsieur Dumont, je vous recommande mon affaire au moins ; j'espère qu'à la considération de mon oncle, vous voudrez bien la rapporter favorablement. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Madame, je serai trop heureux de pouvoir vous prouver combien je suis reconnaissant de toutes vos bontés. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DUMONT)
Elle vous avait bien recommandé. (Acte 1, scène 7, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Je sens bien plus les obligations... (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DUMONT)
Je ne sais si je veille, tant je suis étonné de tout ce qui m'arrive ; mais je suis bien sûr du plaisir que je vais faire à ma mère et de tous les efforts que je ferai pour mériter toute ma vie au tant de bontés. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DUMONT)
Ce qu'il y a de sûr, c'est que voilà une bien bonne journée pour moi. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LA BRUYÈRE)
Vous êtes bien contente. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE LA BRUYÈRE)

L'IMPORTANT (1771)

Hé bien, d'Auversac, que ferons-nous ? (Acte 1, scène 1, SAINT-GRATIEN)
Quelle diable de fantaisie, de venir ici un jour de pièce nouvelle ; je savais bien que nous n'y trouverions pas de place ! (Acte 1, scène 1, D'AUVERSAC)
Mais si elle est bonne, nous la verrons toujours bien. (Acte 1, scène 1, D'AUVERSAC)
Vous êtes bien heureux ! (Acte 1, scène 2, SAINT-GRATIEN)
J'aurais bien voulu rester ici encore quelques jours. (Acte 1, scène 2, SAINT-GRATIEN)
Il est près de cinq heures et demie, la Maréchale doit être arrivée ; elle va bien me gronder, je m'enfuis. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Hé bien, ce sont pourtant ces gens-là qui ont toutes les grâces. (Acte 1, scène 3, D'AUVERSAC)
Je sais bien que tu ne feras pas comme cela, toi. (Acte 1, scène 3, D'AUVERSAC)
Va-t-on bientôt commencer ? (Acte 1, scène 4, LE MARÉCHAL)
Je suis bien aise de vous voir. (Acte 1, scène 4, LE MARÉCHAL)
Hé bien, qui vous en empêchera ? (Acte 1, scène 4, LE MARÉCHAL)
Ah, je suis bien aise de savoir tout cela ; c'est encore un joli travailleur ! (Acte 1, scène 4, LE MARÉCHAL)
Cela vous va bien, vis-à vis de lui surtout. (Acte 1, scène 5, LE MARÉCHAL)
Vous me faites partir bientôt, à vous entendre ; je suis à vos ordres apparemment ? (Acte 1, scène 5, LE MARÉCHAL)
Hé-bien, vous trouverez une autre place, un agréable comme vous, ne saurait jamais manquer. (Acte 1, scène 5, LE MARÉCHAL)
Me voilà bien avancé ! (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Hé bien, Chevalier, que fais-tu donc ici ? (Acte 1, scène 6, GERVAULT)
Je le sais bien. (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Tu es bienheureux toi, je ne sais pas comme tu fais, tu es toujours le mieux placé du monde : je suis venu trop tard et je ne peux pas trouver un coin, tout est plein. (Acte 1, scène 6, GERVAULT)
Hé bien, mon pauvre Chevalier, te voilà donc débusqué ; la loge de la Maréchale est remplie et tu n'y es pas ! (Acte 1, scène 7, DÉRINCOURT)
Tu dois être bien humilié, de te voir comme cela préférer un nouveau venu. (Acte 1, scène 7, D?RINCOURT)
Il y a bien été forcé par le Maréchal ; je sais ton histoire, je viens de rencontrer d'Auversac, qui m'a tout conté. (Acte 1, scène 7, DÉRINCOURT)
Je t'en réponds bien. (Acte 1, scène 7, DÉRINCOURT)
Ah bien, je vais te mener chez la Duchesse, où tu veux aller, Dérincourt y viendra aussi. (Acte 1, scène 7, GERVAULT)

L'APRÃˆS-DINÃ‰E (1771)

Hé bien, Mademoiselle, on ne peut donc pas vous avoir ? (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERNANT)
Mais, Madame n'a qu'à le rendre si elle n'en veut pas ; cependant, il est bien fait ; c'est qu'il y a là un pli... (Acte 1, scène 1, ROSALIE)
Hé bien, voilà ce que je veux dire. (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERNANT)
Je dis seulement à Madame, que le temps est bien court. (Acte 1, scène 1, ROSALIE)
Hé bien, cela ne fait rien, Mademoiselle, je veux l'avoir. (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERNANT)
Vous trouvez toujours ce que je de lire impossible, et puis vous viendrez me dites que vous m'êtes bien attachée. (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERNANT)
Allons ; c'est fort bien : c'est moi qui ai tort. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE VERNANT)
Je vous réponds qu'elle me va très bien, tout le monde m'en a fait compliment aujourd'hui à dîner. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE VERNANT)
Je n'en sais rien ; Monsieur l'Abbé, je vous donne bien le bonjour. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE VERNANT)
Vous êtes bien pressé ! (Acte 1, scène 3, L'ABBÉ)
C'est mon mari ; vous savez bien comme sont ces messieurs-là. (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERNANT)
C'est bientôt dit : hé, sait-on ce qu'on fait ? (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERNANT)
Cela vous est bien aisé à dire. (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERNANT)
Oh, pour cela, vous avez bien raison ; voilà l'état que j'aurais ambitionné si j'avais été femme. (Acte 1, scène 4, L'ABBÉ)
Vous apportez un bien considérable à votre mari, et vous n'en jouissez pas ; ce n'est pas la peine. (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERNANT)
Hé bien, oui, et l'on trouvera mauvais... (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERNANT)
Cela peut être, vous savez bien que je ne vois pas de loin ; mais c'est Madame de Rouvière qui est charmante ! (Acte 1, scène 4, L'ABBÉ)
Il se peut bien que... (Acte 1, scène 4, L'ABBÉ)
Hé bien, qu'est-ce que cela fait ? Voilà comme sont les hommes ; que fait l'âge, quand une femme est aimable ? (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERNANT)
Non ; mais vous savez bien... (Acte 1, scène 5, L'ABBÉ)
Hé bien, Monsieur l'Abbé, je romps un tête à tête ? (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
Hé bien, il s'en va réellement. (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
Je crois qu'elle y est bien mal ! (Acte 1, scène 6, MADAME DE VERNANT)
Ah, ne dites donc pas cela ; il est vrai que je ne crois pas qu'on languisse longtemps avec elle, et j'ose me flatter que si j'avais voulu... mais dans ce temps-là... vous savez bien... (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)

LE BAL (1822)

C'est un bien si grand, qu'à peine peut-on le concevoir, même en le goûtant. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Eh bien, que devines-tu ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE CLERVAUT)
Tu en parles bien à ton aise, parce que tu es garçon, toi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE CLERVAUT)
En vérité, beau masque, c'est bien mal faire les honneurs de chez soi, que de se cacher si longtemps. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE CLERVAUT)
Je suis vrai ; c'est bien plus que d'être galant. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE CLERVAUT)
Cela commence bien. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Je crains bien qu'un autre ne m'ait prévenu, et que, plus heureux que moi... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE CLERVAUT)
Ce ton devient bien grave au moins, pour un bal; et si l'on attaquait aussi vivement madame de Clervaut ici, je crois que cela ne vous plairait pas, si vous le saviez. (Acte 1, scène 4, MADAME DE CLERVAUT)
Tout, c'est bientôt dit. (Acte 1, scène 4, MADAME DE CLERVAUT)
Eh bien, vous avez son portrait, je veux que vous me le sacrifiiez. (Acte 1, scène 4, MADAME DE CLERVAUT)
Je sais bien ce que je fais. (Acte 1, scène 5, MADAME DE CLERVAUT)
Eh bien, messieurs, que faites-vous donc ici ? (Acte 1, scène 7, MADAME D'ORVILLE)
Eh bien ? (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE CLERVAUT)
Il est bien heureux. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE CLERVAUT)

LE BOUDOIR. (1768)

Et en même temps, malgré la richesse des ornements, ils sont si bien distribués, avec tant de goût, que l'oeil est aussi content qu'il est enchanté. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-D-ORSANT)
Vous en devinez bien l'Auteur ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-DE-BOURVAL)
Bien loin d'être une folie, quand vous saurez mon projet, vous ne manquerez sûrement pas de m'approuver. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-DE-BOURVAL)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-D-ORSANT)
Elle a peu de bien ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-DE-BOURVAL)
Hé bien, oui, j'ai envie de l'épouser. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-DE-BOURVAL)
Elle est bien jeune pour vous. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-D-ORSANT)
Je vous comprends bien ; mais qui vous répondra que vous deviendrez l'objet de ses pensées, de ses désirs ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-D-ORSANT)
Je serais bien présent à cette épreuve ; mais il faut qu'elle sente librement , qu'elle réfléchisse seule à ce qu'elle éprouvera, pour lors, je me présenterai, et s'il arrive qu'elle... (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-DE-BOURVAL)
Hé bien, dépêchez-vous donc. (Acte 1, scène 3, SOPHIE)
Hé bien, entrez dans cette garde-robe, vous la verrez au travers des fleurs qui sont peintes sur la glace de la porte, et vous ne remuerez pas. (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
Oui, c'est beau, si vous voulez ; il y a bien de l'or. (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
Combien on se voit de fois ! (Acte 1, scène 4, MADEMOISELLE-DE-SAINT-EDME)
Hé bien, répondez donc ? (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
Hé bien, je ne m'y oppose pas. (Acte 1, scène 4, MADEMOISELLE-DE-SAINT-EDME)
Allons, mon ami, imitez-moi, je donne tout mon bien à mon neveu ; accordez-lui Mademoiselle de Saint-Edme, vous remplirez entièrement les volontés de son père. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-D-ORSANT)

Ã€ TROMPEUR, TROMPEUR ET DEMI (1768)

Monsieur du Bouloir, je suis bien votre serviteur. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
On m'a mandé qu'il n'avait rien laisse : c'est ce qui fait qui je ne me suis pas pressé de venir ; mais, comme il mangeait fort peu, je ne comprends pas ce qu'est devenu son bien. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais son bien, de quelle nature était-il ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Il pourrait très bien se faire, si l'on n'a point de connaissance d'acquisitions, de contrats, que tout ce bien ne soit qu'en argent ou en papiers. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Si j'étais seul, j'aurais bientôt fini mon sort. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Eh bien ! (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
N'ayant point de bien, je ne pouvais espérer de l'obtenir, mais cela ne put diminuer mon amour : j'espérais encore de mon oncle, quoiqu'il n'eut jamais répondu à toutes les lettres que je lui ai écrites lorsque j'appris sa mort, et en même temps qu'il ne m'avait rien laissé. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Eh bien ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Je suis garçon, je ne veux point me marier, j'ai du bien, je le donnerai à ma nièce à condition qu'elle vous épousera. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BOULOIR)
Tu te tiendras ici dessous : tu entendras bien ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DU BOULOIR)
Voulez-vous bien vous asseoir ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DU BOULOIR)
Monsieur, je n'entends point du tout les affaires : j'ai très peu de bien, je suis une pauvre veuve, bien à plaindre ; le peu que j'avais mon mari l'a mangé. (Acte 1, scène 4, MADAME DE RUPERT)
On lui avait fait accroire qu'il ferait de l'or, et l'on a mangé tout ce qu'il avait en opérations réitérées, et quand on a vu qu'il n'avait plus de bien, on l'a abandonné. (Acte 1, scène 4, MADAME DE RUPERT)
Mais le bien de votre mari était en contrats, en terres sans doute, ainsi que le vôtre ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DU BOULOIR)
Vous avez bien de la bonté de me tranquilliser, mais ne me fera-t-il pas des frais, toujours ? (Acte 1, scène 4, MADAME DE RUPERT)
Monsieur, je vous ai bien de l'obligation de m'avoir tranquillisée : je sens que j'ai bien fait de venir vous consulter. (Acte 1, scène 4, MADAME DE RUPERT)
Je vous dis que vous n'avez rien à craindre : vous voyez bien qu'on n'entend pas de bruit. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
C'est-il bien vrai, mon garçon ? (Acte 1, scène 6, MADAME DE RUPERT)
Madame, il n'y avait point de feu du tout, si vous voulez que je vous dise : ceci n'est qu'une plaisanterie et qui tournera sûrement à bien. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
Madame, ce n'est pas un crime si grand que celui de vouloir retenir le bien d'autrui. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
Eh bien ! Si c'est un dépôt, je m'en vais faire mettre le scellé chez vous et vous faire renfermer jusqu'à ce que ceux à qui il appartient se présentent : voyez, déterminez-vous. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)
Eh bien ! (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Finisse cette affaire sans perdre un instant : nous irons chercher ma nièce après, et j'aurai la satisfaction de faire votre bonheur à tous deux ; ne serai-je, pas bien récompensé. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BOULOIR)

CONDAMNER SANS ENTENDRE. (1768)

Eh bien ! (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Eh bien ? (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Bien loin de pouvoir m'en flatter, je ne lis plus que de l'indifférence dans ses yeux. (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
J'en suis bien éloigné : je ne veux jamais cesser d'aimer la comtesse, je veux ici la regretter toujours, et y adorer son image, que moi seul y verra. (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Vous êtes bien jeune, ma nièce, vous ne connaissez pas encore les hommes. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
S'il y en a de perfides, je jurerais bien que le chevalier ne sera jamais de ce nombre-là. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Ce sentiment prouve bien votre tendresse pour moi et me la rend plus chère à chaque ****. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Eh bien ! (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Oui, examinez bien, ce sont tous vos traits. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Voyez, voyez bien, ma tante, qu'il ne faut pas soupçonner légèrement son amant d'être infidèle. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Quand on aime bien vivement, tout doit alarmer. (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Eh bien ! (Acte 1, scène 10, LE BARON)

L'ENRAGÃ‰ (1771)

Elle n'est pas trop bonne ; mais une nuit est bientôt passée. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Voulez-vous bien mettre cela quelque part. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Je ne sais pas bien ; mais si vous voulez, je m'en vais faire monter Monsieur l'Écuyer. (Acte 1, scène 1, MADAME THOMAS)
Avez-vous bien du monde dans ce temps-ci, Madame Thomas? (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Je passerai toujours par ici, moi ; je fuis bien aise de vous voir, Madame Thomas. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Ah, Monsieur, je suis bien votre servante, et vous avez bien de la bonté. (Acte 1, scène 1, MADAME THOMAS)
Monsieur m'a vu bien petite. (Acte 1, scène 1, MADAME THOMAS)
C'est bien différent. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Je ne suis pas difficile ; mais je veux bien souper. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Hé bien, donnez moi-là. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Hé bien, allez donc toujours. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Hé bien, nous donnerons autre chose à Monsieur. (Acte 1, scène 2, MADAME THOMAS)
Vous savez bien que depuis qu'on a jeté un sort sur le colombier, il n'y en revient plus. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR HACHIS)
Et il sera bien dur ? (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Hé bien, mettez-le à la broche tout de suite. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Allons, allons, il fera bientôt cuit. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR HACHIS)
Le couvert sera bientôt mis ; c'est toujours une avance. (Acte 1, scène 4, MADAME THOMAS)
C'est bien choisir ; car c'est le meilleur. (Acte 1, scène 4, MADAME THOMAS)
Je le crois bien. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Hé bien, dites donc ? (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Mais nous serions bien embarrassés. (Acte 1, scène 4, MADAME THOMAS)
Oui, j'en suis bien sûre ; car il a passé par ici quand il était page, et il a écrit son nom sur la cheminée de sa chambre. (Acte 1, scène 4, MADAME THOMAS)
Mon Général ; c'est bien de l'honneur pour moi, (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
Un gros garçon, que j'ai vu il y a bien longtemps, Commandant de Bataillon ? (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
Je ne sais pas si on nous fera bientôt souper. (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
Hé bien, Madame Thomas , où en sommes nous ? (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
Oui, mais il est bien petit, Madame Thomas. (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
Pas trop, Monsieur, vous en serez bien content. (Acte 1, scène 6, MADAME THOMAS)
Non, Monsieur, dont je suis bien fâché. (Acte 1, scène 6, MADAME THOMAS)
J'aurai bientôt fait. (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Mon Général, voulez-vous bien me donner une autre tranche. (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Oh, il fera bientôt expédié. (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Mon Général, voulez-vous bien ?... (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Hé bien, comment le trouvez-vous ? (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Hé bien, venez donc. (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
Vous savez bien que les enragés ne boivent, ni ne mangent. (Acte 1, scène 10, MADAME THOMAS)
Pour vous empêcher de manger autant : mais nous faisons la même route, et demain je vous promets de vous bien donner à diner. (Acte 1, scène 10, LE COMTE)
Vous ferez bien, Madame Thomas. (Acte 1, scène 10, LE COMTE)

LE CAFÃ‰ BORGNE (1770)

Eh bien ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR TRÉPANILLAC)
Eh bien ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FRAC)
Eh bien ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR TRÉPANILLAC)
Monsieur Tressant, quand vous voulez bien en prendre la peine, cela allait mieux. (Acte 1, scène 2, MADAME LAVADE)
Je voudrais bien que ma boutique fût achalandée comme la vôtre. (Acte 1, scène 2, MADAME LAVADE)
Si Monsieur de Tressant voulait bien me permettre d'avoir l'honneur... (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FRAC)
C'est ce que me disait ce matin le prince de... qui se plaignait que les siennes n'allaient jamais bien ; mais, Monseigneur, je dis, c'est que vous autres grands, vous ne savez pas porter une perruque : il faut connaître la marche de cela, je dis : il y a un art à faire une coiffure, il n'y en a pas moins à la porter : c'est une tournure, un effet pittoresque, là, je dis... (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TRESSANT)
Eh bien ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FRAC)
Le génie n'a pas besoin de mesure, mais la tête est, je crois, comme le corps : il faut bien, pour connaître la proportion... (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FRAC)
En lui portant son habit, il faut lui dire qué vous avez trouvé son affaire : s'il sé coiffait une fois de Monsieur Tressant, Monsieur Tressant coifferait bientôt tous les étrangers. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TRÉPANILLAC)
Pas tout à fait bien... (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TRESSANT)
Fort bien ! (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TRESSANT)
Cela serait bien long. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FRAC)
Il sait bien ce que c'est... (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TRESSANT)
Non, ce n'est pas la question ; c'est qu'il fallait m'apprivoiser avec votre figure : il fallait saisir, vous comprenez bien ; z'à présent, c'est la plus petite chose du monde et je me flatte que vous allez convenir que j'ai mon coup d'oeil juste. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR TRESSANT)
Eh bien ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR TRESSANT)
Ma femme va être bien contente, car nous avions toujours querelle sur ma coiffure : oh ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FRAC)
Bien obligé, gardez-la pour vous. (Acte 1, scène 1, TROTIN)
Voilà qui est fort bien, mais parlons d'affaires. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FRAC)
Eh bien ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR TRESSANT)
Monsieur, bien de l'honneur à moi, je n'y regarde pas de si près ; c'est seulement... (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FRAC)

LES DEUX AMIS (1771)

Hé bien, au lieu de vin, buvons de la bière, il fait assez chaud aujourd'hui pour cela. (Acte 1, scène 1, LA CORNE)
Vous lui faites bien de l'honneur, mais il ne faut pas parler de corde, dans la maison d'un pendu. (Acte 1, scène 3, RASIGNAC)
Vous m'entendez bien ; à votre santé, Monsieur de La Corne. (Acte 1, scène 3, RASIGNAC)
Non ; mais c'est que vous savez bien ma petite Javotte, qui est si gentille ? (Acte 1, scène 3, RASIGNAC)
Hé bien, tenez, je trouve qu'elle ressemble à du Croc. (Acte 1, scène 3, RASIGNAC)
Vous sentez bien que je ne veux pas vous tromper, je suis trop de vos amis pour cela. (Acte 1, scène 3, LA CORNE)
Hé bien, vous me remettez l'esprit. (Acte 1, scène 3, RASIGNAC)
Vous-entendez bien, souvent... (Acte 1, scène 3, RASIGNAC)
Convenez que c'était bien imaginé ; parce que voilà qu'est bien, on dit, tout-ci tout-ça , et par ce moyen, on fait taire les mauvaises langues. (Acte 1, scène 3, RASIGNAC)
C'est bien fait. (Acte 1, scène 3, LA CORNE)

LE POULET (1771)

Parbleu, cette médecine là m'a bien fatigué ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR D'ORVILLE)
Monsieur, il fallait bien être auprès de vous, pour vous habiller. (Acte 1, scène 1, COMTOIS)
Hé bien, je m'en vais le couper, moi. (Acte 1, scène 3, COMTOIS)
Hé bien, il me chassera, et je m'en irai. (Acte 1, scène 3, COMTOIS)
Oh, j'en ferai bien autant que toi, allons, allons, donne-moi l'autre cuisse. (Acte 1, scène 3, LA BRIE)
Je le veux bien, nous serons deux contre lui, il ne saura lequel renvoyer. (Acte 1, scène 3, COMTOIS)
Hé bien bois. (Acte 1, scène 3, COMTOIS)
C'est bien dit, donne-moi le corps. (Acte 1, scène 3, LA BRIE)
Tu es bien gourmand. (Acte 1, scène 3, LA BRIE)
Hé bien, qu'est-ce que vous faites-là vous autres ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR D'ORVILLE)
Hé bien ; ces coquins là, ne veulent donc pas me donner mon poulet ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR D'ORVILLE)
Que vous attendez, Monsieur ; vous badinez ; il est bien loin. (Acte 1, scène 3, LA BRIE)
Comment bien loin ! (Acte 1, scène 3, MONSIEUR D'ORVILLE)
Je le crois bien ; car je l'ai encore. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR D'ORVILLE)
Tu vois bien que Dame Jeanne n'aura rien à dire non plus. (Acte 1, scène 3, LA BRIE)
Hé bien, la médecine, depuis ce matin ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FRÉMONT)
Bon, Monsieur, a bien plus fait, il a mangé le poulet tout entier ! (Acte 1, scène 4, LA BRIE)
Oui, si vous ne voulez pas avoir une maladie épouvantable, une inflammation !... où bien je ne vous verrai plus, je ferai mieux. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FRÉMONT)

LA STATUE. (1822)

Eh bien, Marquis, me confierez-vous enfin le sujet de votre tristesse ? (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Eh bien ? (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Bien loin de pouvoir m'en flatter, je ne lis plus que de l'indifférence dans ses yeux. (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
J'en suis bien éloigné. (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Vous êtes bien jeune, ma nièce ; et vous ne connaissez pas encore les hommes. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
S'il y en a de perfides, je jurerais bien que le Chevalier ne sera jamais de ce nombre-là. (Acte 1, scène 4, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Ce sentiment prouve bien votre tendresse pour moi, et me la rend plus chère à chaque instant. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Eh bien, la niche ne s'ouvre pas. (Acte 1, scène 4, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Oui, examinez bien, ce sont tous vos traits. (Acte 1, scène 4, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Vous voyez bien, ma tante, qu'il ne faut pas soupçonner légèrement son amant d'être infidèle. (Acte 1, scène 4, MADEMOISELLE DE RICHEVIÈRE)
Quand on aime bien vivement, tout doit alarmer. (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Eh bien, tombe à ses pieds. (Acte 1, scène 10, LE BARON)

LA ROSE ROUGE (1771)

Je le sais bien que tu l'es, puisque c'est avec ma dot que tu as été reçu. (Acte 1, scène 1, MADAME BROSSART)
Mais, du moins, ils ont de l'ouvrage, et toi tu n'en as pas ; je suis bien malheureuse de t'avoir épousé. (Acte 1, scène 1, MADAME BROSSART)
Sais-tu que c'est bien de l'honneur que je t'ai fait ; sans moi, tu n'aurais jamais été la femme d'un homme d'épée. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BROSSART)
Ne t'embarrasse pas, j'aurai bientôt de l'ouvrage. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BROSSART)
Tu sais bien ce cabaretier qui vient de s'établir à côté de chez nous ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BROSSART)
Assurément, j'y ai déjà pensé, et je veux en faire une belle, qui me donnera bien des pratiques, quand on la verra. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BROSSART)
Mon voisin, vous voulez bien que je vienne vous voir ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINOT)
Enfin, vous vous portez bien ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BROSSART)
C'est bien honnête à vous ; mais c'est que je vous dirai une chose ; je n'ai point encore d'enseigne, et cela est nécessaire ; quoiqu'on dise qu'à bon vin, il ne faut point de bouchon. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINOT)
Hé bien, je vous ferai une enseigne. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BROSSART)
Hé bien, voyons. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINOT)
Voilà bien de l'or dans tout cela. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BROSSART)
Mais, combien encore ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINOT)
C'est bien cher. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINOT)
Oui ; voilà pourquoi je vous proposais la Rose_rouge, qui est une affaire de douze francs : c'est pour votre bien ; car, moi, vous sentez... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BROSSART)
Je compte bien sur cela, mais quand aurai-je mon vin ? (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BROSSART)
Point de cérémonie entre voisins, sans cela, je ne viendrais pas vous voir ; et j'aime beaucoup à voir peindre : ainsi vous voyez bien que... (Acte 1, scène 3, MONSIEUR VINOT)
Eh bien ! (Acte 1, scène 5, MADAME BROSSART)
Et combien te donnera-t-il ? (Acte 1, scène 5, MADAME BROSSART)
Tant_mieux ; car j'attends après cet argent-là, pour acheter bien des choses. (Acte 1, scène 5, MADAME BROSSART)
Oui, mais il est bien cher ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR BROSSART)
Mais, au contraire, je veux bien l'avoir à meilleur marché. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR BROSSART)
Faites bien nos compliments à Monsieur_Vinot. (Acte 1, scène 8, MADAME BROSSART)
Eh bien, tu fais encore une rose rouge ? (Acte 1, scène 9, MADAME BROSSART)
Oui, je voudrais bien savoir ce que cela te fait. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BROSSART)
C'est bien imaginé ! (Acte 1, scène 9, MADAME BROSSART)
Parbleu me voilà bien malade ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR VINOT)
Vous avez bien de la bonté. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BROSSART)
Vous voyez bien que vous vous condamnez vous-même, en mettant au Lion_d_or au-dessous d'une rose rouge. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR VINOT)
Eh bien, si vous n'en voulez pas, vous n'avez qu'à le rendre. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR VINOT)
Je vous en empêcherai bien. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BROSSART)
Eh bien, eh bien ; qu'est-ce que vous avez donc ? (Acte 1, scène 12, MADAME BROSSART)
Je le veux bien. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR BROSSART)
Il l'a fait exprès, il pouvait bien faire un Lion. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR VINOT)
C'est que c'est vrai ; ainsi, mon voisin, vous voyez bien qu'il ne pouvait pas mieux faire. (Acte 1, scène 12, MADAME BROSSART)
Je suis plus raisonnable que lui, car je veux bien de son vin. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR BROSSART)
Parbleu, je le crois bien. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR VINOT)
Vous le croyez bien ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR BROSSART)
C'est bien raisonnable, soyez de même. (Acte 1, scène 12, MADAME BROSSART)
Non parbleu ; c'est bien assez de vous avoir donné mon vin. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR VINOT)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 70 textes (soit une présence dans 3,76 % des textes) dans lesquels il y a 1760 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 25,14 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Total
1	LE SUISSE MALADE	17	17
2	LE SUISSE MALADE	2	2
3	? BON CHAT BON RAT	21	21
4	ALM?NORADE	2	2
5	ALMÉNORADE	7	7
6	LA PERMISSION DE CHASSE	15	15
7	LE CHAPON AU GROS SEL.	20	20
8	LE SEIGNEUR AUTEUR	22	22
9	LE CHANOINE DE REIMS	34	34
10	LE SOURD	24	24
11	L'HOMME QUI CRAINT D'AIMER	14	14
12	DAME JEANNE	36	36
13	LE PEINTRE EN CUL-DE-SAC.	22	22
14	LES VOYAGEURS	33	33
15	LE BOITEUX.	88	88
16	LE SOT H?RITIER	56	56
17	LES DEUX ANGLAIS	11	11
18	LES FOUS	11	11
19	LES FOUS	16	16
20	L'?CRIVAIN DES CHARNIERS.	79	79
21	LE FAUX EMPOISONNEMENT	18	18
22	LE SUISSE DE PORTE ET LE PORTRAIT.	9	9
23	LE VEUF	15	15
24	LE MA?TRE DE BALLETS	11	11
25	LE PARI	15	15
26	L'?TRANGER	25	25
27	LE MARI ABSENT	27	27
28	L'AVOCAT CHANSONNIER.	21	21
29	L'AVOCAT CHANSONNIER.	2	2
30	LE BAVARD	31	31
31	L'AVEUGLE AVARE	30	30
32	SORTIE DE LA COM?DIE FRAN?AISE	27	27
33	LES PLEUREURS D'HOM?RE	9	9
34	L'OFFICIER DU GOBELET	38	38
35	LE CHIEN DE LA FOIRE	26	26
36	LES SECONDES LOGES DE L'OP?RA, LE DIMANCHE.	18	18
37	LE DIAMANT	53	53
38	LES DEUX CHAPEAUX	11	11
39	LE LI?VRE	49	49
40	LES FAUX INDIFF?RENTS	9	9
41	LA VESTE BROD?E.	19	19
42	LA M?DAILLE D'OTHON	24	24
43	L'AVOCAT CONSULTANT.	8	8
44	L'ABB? DE PL?TRE	52	52
45	LE PETIT POUCET	54	54
46	LA VEUVE AVARE	23	23
47	LES DEUX AUTEURS	7	7
48	L'HISTOIRE.	14	14
49	LE CHANTEUR ITALIEN	21	21
50	LE PETIT MA?TRE PAR PHILOSOPHIE	27	27
51	LE CHASSEUR ET LES JOUEURS.	10	10
52	LES BONS	23	23
53	LE PORTRAIT	51	51
54	LE FRIPON ORGUEILLEUX	22	22
55	LES D?SESP?R?S DE L'OP?RA	25	25
56	L'AUTEUR ET L'AMATEUR	16	16
57	L'ABB? DE COURE-D?NER.	41	41
58	LES ?POUX MALHEUREUX	21	21
59	LE BON MARI	12	12
60	L'AUTEUR AVANTAGEUX.	14	14
61	LE DISTRAIT	16	16
62	LA RECOMMANDATION	34	34
63	L'IMPORTANT	24	24
64	L'APR?S-DIN?E	24	24
65	LE BAL	14	14
66	LE BOUDOIR.	16	16
67	? TROMPEUR, TROMPEUR ET DEMI	23	23
68	CONDAMNER SANS ENTENDRE.	12	12
69	L'ENRAG?	38	38
70	LE CAF? BORGNE	21	21
71	LES DEUX AMIS	10	10
72	LE POULET	18	18
73	LA STATUE.	12	12
74	LA ROSE ROUGE	40	40
	Total	1760	1760